Fatiguée… déprimée

Aujourd’hui un billet loin de l’Amérique du Sud, un billet qui trainait dans mes brouillons, écrit il y a bien longtemps mais qui devrait servir à une vieille amie et à une autre copine dont le moral connait des fluctuations en ce moment. Ça arrive à tout le monde “d’être mal”, il n’y a pas à en avoir honte mais il faut vouloir s’en sortir sans compter exclusivement sur les cachets car si la chimie peut être efficace (je parle en connaissance de cause), rien ne vaut le désir personnel de vivre qui est tapi au fond de soi (là aussi je sais de quoi je parle). Continuer la lecture

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Out of order !

Out of order ! C’est “être en panne” mais aussi “hors service” (c’est presque le même sens que celui de panne mais plus triste au fond puisque c’est être mis au rebut), en désordre ou inacceptable. Moi qui préfère toujours la langue française si précise aujourd’hui je préfère le “Out of order ” qui correspond bien au sentiment que j’ai ressenti avant-hier matin. Je me suis senti “Out of order ” et ce fut un moment de solitude voire de désespoir tant je me suis sentie vieille et dépassée. Continuer la lecture

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Faune de Patagonie

Je ne peux pas faire un inventaire complet de la faune et de la flore locale mais vous présenter ce que j’ai vu ou aperçu et dont je me souviens. La faune marine est la plus difficile à rencontrer j’ai tout juste aperçu des dauphins (pas des dauphins de Commerson mais  des dauphins communs). J’étais en bateau mais pour les orques, baleines ce n’était pas la saison. L’observation dans cette région du monde se fait de juin à décembre (je suis venue en janvier : loupé ! Heureusement, j’ai vu plusieurs fois des baleines en Afrique du Sud). Continuer la lecture

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Patagonie

J’ai quitté un soir Punta del Este par la mer pour partir vers la Patagonie. J’ai fait une première escale à Puerto Madryn, la ville proche de la Peninsula Valdés, puis direction Ushuaia, le Cap Horn, les fjords chiliens, le Perito Moreno… Une petite carte pour avoir une idée du périple qui m’a emmené à Valparaiso puis Santiago du Chili pour prendre l’avion du retour.  Continuer la lecture

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Métro

Métro… Nom de famille à La Réunion (il y en aurait eu 714 entre 1891 et 1990 contre  les PAYET : 28 978, c’est le nom le plus courant sur l’île). Métro c’est aussi un nom commun utilisé à la place du vocable “zorey” (zoreille) pour les personnes originaires de métropole : la France (“cité-mère” par rapport aux colonies qui dépendent d’elle). Métro c’est enfin le nom d’un grossiste alimentaire et équipements pour professionnels (commerce, café, restaurant, hôtel, entreprise…), un moyen de transport en commun (apocope de métropolitain, pour « chemin de fer métropolitain ») souterrain le plus souvent qui a fait ses débuts à Londres puis à Paris et s’est répandu à travers le monde dans les grandes métropoles. Continuer la lecture

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Couillon

Savez-vous ce qu’est un couillon ? Je suis sûre que oui puisque vous vous dites souvent, comme moi j’en suis sûre : “On nous prend pour des couillons ! ”  (ou pour des cons – clic).

Oui, le gouvernement et nos élus d’une manière générale s’écrasent devant les lobbies, les banquiers (attention à Macron !)  et tant d’autres ; nous ne connaissons pas les arcanes du pouvoir mais nous avons bien compris que nous payons toujours  au final. Continuer la lecture

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Où t’as mis le corps ?

“Où t’as mis le corps ?” J’ai envie de commencer par une chanson dont vous vous souvenez peut-être.  C’est une chanson comique écrite en 1958 par Boris Vian, mise en musique par Louis Bessières, qui raconte l’histoire d’une bande de malfrats voulant se débarrasser du corps de leur victime, mais Arthur, à qui cette mission a été attribuée, a égaré le cadavre. “Arthur, où t’as mis le corps ?” Voilà la grande question ! Continuer la lecture

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La misère en Uruguay

Malgré tous les efforts de “Pepe”, le Président pauvre (à qui je consacrerai un article) et de bien d’autres, l’Uruguay est comme tous les autres pays avec des riches et des pauvres. Si l’Uruguay était considéré dans les années 1950 comme la « Suisse de l’Amérique », ce n’est plus pareil aujourd’hui le pays s’est appauvri et il existe des “ghettos” de déshérités, des asentamientos, dans le pays. On n’en parle guère car ce ne sont pas des attractions touristiques et les personnes victimes de la misère ne sont pas des bêtes curieuses.  Continuer la lecture

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