Silence ! Non je ne tourne pas, même pas en rond, j’ai bien trop à faire ; je ne suis pas partie en goguette non plus à cause du re-confinement (absurde, mais nous sommes au pays d’Ubu, c’est sûr aujourd’hui), silence parce que… je ne sais pas… je ne sais plus quoi dire face à la situation dans laquelle nous sommes. Quelle année cette année-là ! Continuer la lecture
Surnom
Petite leçon d’histoire. On ne se refait pas. Rêve d’enfance, l’Histoire…
Le surnom est un nom formé par addition, au prénom ou au nom de famille d’une personne, d’un terme, mettant en relief le plus souvent une particularité physique, une qualité morale ou une action d’éclat ainsi nous avons eu, en France : Philippe le Hardi, Napoléon le Petit selon Victor Hugo (c’est le numéro trois, bien que plus grand par la taille que son oncle Napoléon I), Charles le Chauve ou Louis le Gros. Cette appellation familière ou pittoresque est quelquefois même substituée au véritable nom d’une personne. Continuer la lecture
Avocat du diable
Connaissez-vous l’expression “Se faire l’avocat du diable” ? Je l’aime bien. J’aime bien aussi ce rôle quelquefois qui revient à amener des arguments contraires à ce que pense la majorité des gens, y compris soi-même, dans le but d’alimenter le débat et de tenter d’en ressortir aussi neutre que possible. Pas toujours facile encore moins reposant mais c’est un bel exercice ! Essayez de vous faire en ce moment l’avocat du diable sur le sujet du racisme ; par pur plaisir rhétorique, pour alimenter la réflexion. Continuer la lecture
Du spleen à Voltaire
Fatiguée, lassée, désabusée, dégoûtée, découragée… Voilà. J’ai des choses à dire mais je pense “à quoi bon ?” et je cultive paisiblement mon jardin, tel Candide. À chacun sa méthode. Je gratte la terre et mon esprit peut vadrouiller en liberté, je pense un peu à tout : à mes enfants, mes petits-enfants, à l’école, l’instruction, la politique, aux élus divers, au mensonge, à l’hypocrisie, la malhonnêteté, le dévouement, le bien, le mal, à mes lectures plus ou moins anciennes… Je me souviens et le moral monte et baisse au gré de mes idées. Continuer la lecture
Dropshipping
Connaissez-vous le dropshipping ? Mon fils m’en avait parlé, je viens de découvrir sa réalité. C’est une arnaque ni plus ni moins. Je vous explique. Continuer la lecture
Possédé
Possédé, être possédé c’est être habité par une puissance diabolique. Emmanuel Macron est-il possédé ? Je me le demande. Un psy italien avait dit en 2017 que Manu était un psychopathe. Aujourd’hui je me demande si ce n’est pas un psychopathe cocaïnomane. Euh… Ai-je encore le droit de me poser des questions et de le dire ? Continuer la lecture
Petite leçon de vocabulaire
Mon mari partait chercher ses médicaments à la pharmacie, occupation à laquelle il se livre une fois par mois, je lui ai demandé de faire trois petits achats en même temps : de la levure chimique, une salade et de la litière pour chat. Comme je suis souvent d’humeur taquine (je suis une emmerdeuse aux yeux de certains), je lui ai demandé s’il comptait baguenauder un peu (ce qui n’est pas facile par les temps qui courent).
Qui sème… 2020
J’ai déjà intitulé un billet “Qui sème” en janvier 2019 que vous pouvez relire en cliquant sur les mots bleus. Voilà donc la version 2.0 ou 2020 de ce “Qui sème” en octobre ou novembre de cette année et surtout quoi et pour quelles récoltes ? Continuer la lecture
Pénurie(s)
Une pénurie est un manque (total ou presque total) de quelque chose de nécessaire. Ce mot est synonyme de carence, insuffisance, rareté, défaut… Son antonyme est abondance. Nous ne sommes pas dans une société d’abondance contrairement à ce que l’on veut nous faire croire. Notre société souffre de pénurie dans de nombreux domaines : manque de justice, d’amour, etc. Bien sûr il ne s’agit pas de manques de biens matériels et vitaux (encore que…) dans les pays dits développés mais le manque, les pénuries existent bel et bien, nous ne les voyons pas forcément. Continuer la lecture
9 novembre
Le est le 313ème jour de l’année, le 314ème en cas d’année bissextile. Il reste 52 jours avant la fin de l’année. C’était le 19e jour du mois de brumaire dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la grenade. Continuer la lecture