Père OK

Ce n’est plus dimanche mais j’ai trop peu de temps pour écrire un article  alors, des sourires avec quelques mots retrouvés dans mes documents, des mots connus pour la plupart. Je fais le perroquet sur ce coup-là. Pardonnez-moi et souriez  encore un peu, ça ne fait jamais de mal. À bientôt. Continuer la lecture

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C’est dimanche (100)

Numéro 100… J’ai passé plus de 100 dimanches à vous raconter des histoires. Au début je ne les numérotais pas. Vais-je arrêter faute d’inspiration ou de peur de me répéter ? Je verrai. Aujourd’hui, pour rire des histoires de Juifs. Pas celle de Popeck, celui qui vivait “dans une chambre de bonne sans la bonne” mais d’autres. Ne m’attaquez pas pour antisémitisme, s’il vous plait. Continuer la lecture

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Oiseau de malheur

Hier j’ai écrit “Je ne voudrais pas être un oiseau de mauvais augure”, mais pourquoi dit-on cela quand on ne fait qu’entrevoir une réalité possible et qu’on le dit ? Il arrive qu’on vous traite alors d’oiseau de malheur. Je me pose donc cette question : quelle différence y a-t-il entre un oiseau de malheur et un oiseau de mauvais augure ? A priori aucune. Continuer la lecture

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Météo. Des conséquences.

La météo en France métropolitaine m’inquiète un peu. Nous ne sommes qu’en novembre et il fait déjà froid depuis quelques semaines. Il suffirait que des cyclones passent sur les DOM de l’hémisphère sud (Mayotte, Réunion) ou les TOM (Nouvelle Calédonie) pour que les ennuis s’accumulent. Comment payer toutes les réparations, indemniser les dégâts ? Il y a bien les assurances mais qui paie les assurances et les réparations. Nous n’avons pas besoin d’augmentation des dépenses. Il y en a déjà tant de prévues. Continuer la lecture

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Une enfance en exil

Une enfance en exil  ou les enfants de la Creuse. Par hasard, ce jeudi matin 21 novembre 2013, j’ai entendu, sur FR3, parler de l’exil des enfants réunionnais. Un voile de silence était tombé pendant des années sur cette affaire. Honte des deux côtés de l’océan ? Peurs ?

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Faire la gueule

Je me demande souvent pourquoi les Parisiens et les citadins d’une manière générale font la gueule. J’essayais de comprendre : stress, fatigue liée aux heures de travail et à la durée des temps de trajet, à l’inconfort des moyens de transport, au manque de soleil et de lumière, au prix des loyers, à la crainte de perdre son emploi, à la peur de l’autre… Je viens de trouver une explication. C’est bien la faute des autres. Continuer la lecture

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