Beaucoup de bruit pour rien

Ce soir, des idées en pagaille qui me trottent dans la tête. Rien ne va plus dans mon pays et je crains que tout n’aille de mal en pis. Rien de concret et de sensé, de bon pour le peuple n’est réellement mis en place. On s’agite dans les hautes sphères, on brasse, on bavasse mais les résultats sont piètres. Des annonces se succèdent, des rapiéçages, des colmatages sont faits à la va-vite. Il n’y a pas de projet à long terme clair, on bricole… J’ai envie de dire que depuis des mois on fait “beaucoup de bruit pour rien”. Continuer la lecture

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Défendre son pré carré

Défendre son pré carré. Pff ! De nos jours, il y en a des experts dans ce domaine. Défendre son pré carré, c’est défendre son territoire réservé et les éventuelles prérogatives qui s’y attachent. Pourquoi nos élus tiennent-ils tant à se re-présenter aux élections si ce n’est pour conserver tous les avantages qu’ils ont acquis ?

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Perdre le nord

Le Parti Socialiste a perdu le Nord. J’ai lu, je ne sais plus où : “la gauche s’est pris une droite”. J’ai souri. On pouvait s’y attendre. Depuis longtemps. Avec François Hollande, je craignais le pire en 2012, d’autres hommes de gauche auraient pu faire mieux mais… c’est comme ça, c’était lui qui se présentait à la présidence. Mauvais choix ! Continuer la lecture

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L’école des Fans

Le lendemain des élections, tout le monde politique français montrait sa satisfaction après la publication des résultats. Oui, c’est une tradition des soirées électorales : chacun cherche à trouver son compte dans les résultats, un cliché qui aura rarement été aussi vrai qu’au soir du premier tour des élections départementales, ce dimanche 22 mars 2015. Continuer la lecture

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À peu près

Dans notre monde actuel, tout se dit, se sait, se fait “à peu près”. Je crois que l’à-peu-près est devenu une sorte de passeport pour cautionner la paresse généralisée, celle que je n’aime pas : la paresse des médiocres. Souvenez-vous de mon “éloge de la paresse“. Nierez-vous qu’aujourd’hui, à l’école, le savoir est transmis à peu près par des enseignants à peu près doctes ? Que tout ne nous intéresse qu’à peu près ? Continuer la lecture

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Plus jamais ça

Plus jamais ça ! Nous avons tous entendu ces mots un grand nombre de fois et pourtant “ça” recommence toujours. Après la Grande Guerre, ses tranchées, ses “gueules cassées”, on avait pourtant entendu «Plus jamais la guerre» ou «Plus jamais de guerre», ou encore «Jamais plus la guerre !», c’est la “Der des ders”. Et il y a eu la Deuxième guerre Mondiale. Maintenant soixante-dix ans après l’horreur des camps de la mort, nous avons vu et nous savons qu’il y a encore des génocides. Continuer la lecture

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