Jadis, sur mon caillou, à l’Île de La Réunion, j’allais au théâtre, c’était au siècle dernier quand je suivais les créations d’Emmanuel Genvrin avec intérêt. Une de ses pièces avait pour titre “Runrock“. Était-ce un texte prémonitoire comme le furent les écrits de Jules Verne ou mieux le roman de Morgan Robertson ? Continuer la lecture
Archives de catégorie : Culture
Esperanto
Quand j’avais sept ou huit ans, j’ai découvert, en lisant la “Sélection du Reader’s Digest” de ma grand-mère, qu’il existait une langue idéale à mes yeux de petite fille : l’esperanto. J’ai harcelé, en vain bien sûr, ma mère de me trouver une école espérantiste et de m’y inscrire. “Décidément, cette enfant est folle” disait mon charmant beau-père. Puis le temps a passé et, alors que j’approchai la cinquantaine, j’ai rencontré des espérantistes dans une rue du Mans. Continuer la lecture
Bûches
Petite étude du jour : outre la bûche de Noël, on trouve le morceau de bois et quelques autres sens à ce mot. Il existe aussi des expressions et des verbes dérivés. Continuer la lecture
Pipeau
Pipeau… Souvenirs… Souvenirs peu harmonieux de l’école primaire. Mais qui donc avait eu cette idée folle de contraindre des milliers d’enfants à la pratique de cet instrument ? Le pipeau, flûte champêtre appelée aussi chalumeau. Flûte à bec rudimentaire en bois ou en matière plastique, munie de huit trous. Quasi cauchemar ce jour de musique.! Tu parles d’un encouragement à la pratique de cet art. Continuer la lecture
Le gland et la citrouille
Chaque jour, je me rends compte que j’en apprends un peu plus et que ça ne peut pas s’arrêter, il y a tant et tant de “choses” à découvrir. Le monde est vaste, la nature surprenante et les Hommes créatifs (malheureusement pas toujours pour le mieux). Je viens de découvrir une fable de La Fontaine qui m’avait échappée : “Le gland et la citrouille”. Continuer la lecture
Vanité(s)
Dystopie (2)
Le 13 juin 2018, j’ai rédigé un billet sur le mot dystopie (clic) ; aujourd’hui j’y reviens à cause d’un roman qui vient d’être réédité aux États-Unis (en anglais seulement) et qui est un thriller dystopique. Sera-t-il traduit un jour en français ? Quel intérêt sinon jouer à se faire peur. Il semble bien que la réalité rejoigne cette fiction.
Sacré numéro
En 2014, j’ai écrit un billet sur lequel je viens de retomber par hasard (à cause d’un commentaire curieux, un “indésirable” surprenant que je viens d’effacer de la liste (depuis hier, il se passe des trucs étranges sur mon blog). Ce billet “jamais deux sans trois” se terminait par ces mots “drôles de numéros” et “sacrés numéros”, après la photo d’une 203 de Peugeot. Je me souvenais de publicités de la marque. Il y en a eu de très originales ; la 205 fut un sacré numéro.
– onner…
Aujourd’hui, réflexions sur le français, la langue française et sur ce fameux -onner qui est un suffixe familier à valeur diminutive et/ou fréquentative, parfois péjorative, s’ajoutant à des bases verbales le plus souvent à des verbes du premier groupe (les verbes se terminant par ER) mais pas toujours. Pardonner me semble faire partie d’une autre histoire, bien compliquée, mais pardonner c’est bien plus simple qu’absoudre.
Tétraphobie
Depuis que je suis rentrée de mon voyage de deux mois aux antipodes, je me dis qu’il faut à tout prix que je vous parle de la Nouvelle-Zélande et que je montre quelques photos mais l’actualité m’oblige à m’exprimer et à partager les découvertes que je fais ici et là. Les chansons parodiques ont occupé mon blog quelques jours tant j’ai eu envie de vous les faire connaître et il y a le reste, cette tendance à passer du coq à l’âne. J’espère ne pas tenir de propos trop incohérents mais je ne peux empêcher mon esprit de partir en vadrouille (une balade sans but précis, un peu au hasard).