Le courage

Si seulement nous avions un peu plus de courage… Oui, il faudrait que nous ayons enfin le courage d’abandonner le système économique corrompu dans lequel nous vivons, oublier la toute-puissance du fric, du paraître et de la notoriété, il faudrait faire cesser les abus d’incompétents qui se gobergent sur notre dos  et revenir aux notions de mérite, de bonté, d’équité, de partage. Je rêve. Continuer la lecture

Share

L’intégration

L’intégration des immigrés a longtemps réussi en Europe. Il suffit de regarder un annuaire téléphonique en France pour constater que tout le monde ne s’appelle pas Dupont ou Martin. Métissage, mélange, intégration… mais ça c’était avant quand les immigrés voulaient vraiment s’intégrer et qu’ils voulaient passer inaperçus parmi les autres citoyens. Moi qui suis petite-fille d’immigrés espagnols, belle-fille d’immigrés chinois, je sais que les nouveaux arrivés ont fait des tas d’efforts pour réellement s’intégrer. Ils étaient reconnaissants envers le pays qui les avait accueillis mais ça, c’était avant. Les temps ont changé. Continuer la lecture

Share

Devoir de mémoire

Depuis plusieurs années, le « devoir de mémoire » est invoqué de façon récurrente et insistante. Cette injonction exprime sans doute l’inquiétude légitime de voir la mémoire effacée et remplacée par l’oubli. Les associations d’anciens combattants, de résistants, de déportés (dont les rangs s’éclaircissent de plus en plus), ainsi que les minorités persécutées, victimes civiles des deux guerres mondiales, de la guerre d’Algérie, et plus récemment les descendants des esclaves noirs, entendent faire reconnaître et transmettre des mémoires douloureuses, tous soucieux de préserver leur spécificité. Mais est-ce ainsi qu’on préserve l’unité d’un pays ? À force de mettre en avant les spécificités, on va briser ce qui fit l’union de notre Nation française et en revenir au clanisme, au tribalisme, chacun défendant son « petit bout de gras ». Continuer la lecture

Share

Plus jamais ça

Plus jamais ça ! Nous avons tous entendu ces mots un grand nombre de fois et pourtant “ça” recommence toujours. Après la Grande Guerre, ses tranchées, ses “gueules cassées”, on avait pourtant entendu «Plus jamais la guerre» ou «Plus jamais de guerre», ou encore «Jamais plus la guerre !», c’est la “Der des ders”. Et il y a eu la Deuxième guerre Mondiale. Maintenant soixante-dix ans après l’horreur des camps de la mort, nous avons vu et nous savons qu’il y a encore des génocides. Continuer la lecture

Share