À peu près (2)

Comme il est préférable de rire de tout, voilà de quoi rire de l’à-peu-près. Quelques expressions transformées en citations appropriées ou “ils auraient pu le dire”. Je vous offrirai bientôt une sélection de mots et d’expressions tordus, déformés qui font appel à la culture (très) générale. Continuer la lecture

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À peu près

Dans notre monde actuel, tout se dit, se sait, se fait “à peu près”. Je crois que l’à-peu-près est devenu une sorte de passeport pour cautionner la paresse généralisée, celle que je n’aime pas : la paresse des médiocres. Souvenez-vous de mon “éloge de la paresse“. Nierez-vous qu’aujourd’hui, à l’école, le savoir est transmis à peu près par des enseignants à peu près doctes ? Que tout ne nous intéresse qu’à peu près ? Continuer la lecture

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Jeu de lettres.

En terminant un de mes billets, j’ai constaté que l’un des anagramme de domiens était dominés. Je ne vais pas m’étendre sur le sujet des dominants et des dominés mais je vais m’amuser avec les lettres du mots DOMIENS. Il faut reconnaître que pendant longtemps les nouveaux arrivants dans les DOM (les anciennes colonies) ont considéré les autochtones comme des êtres inférieurs. Continuer la lecture

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Semaine de la fancophonie

La semaine de la langue française et de la francophonie se déroule du 14 au 22 mars 2015. Cette semaine permet de célébrer la langue française à travers de nombreuses animations organisées en France et à l’étranger avec un thème, cette année : “le Français, langue hospitalière”. Pour être hospitalière, la France l’est dans bien des domaines et c’est ce qui a fait sa richesse. Avant.

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Connaissez-vous Sisyphe ?

Albert Camus aurait eu 101 ans, le 7 novembre dernier. Cet auteur a fait de Sisyphe le héros de son deuxième essai philosophique «Le mythe de Sisyphe», mon livre de chevet durant mon année de terminale philo. Voilà comment l’auteur commençait son essai : «Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, Continuer la lecture

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Fahrenheit 451

Il y a quelques jours, dans un de mes billets, vous avez pu lire “La société déshumanisée décrite par Fahrenheit 451 montre que de nombreuses valeurs humaines ont sombré, l’amour comme l’intelligence” mais notre société ne ressemble-t-elle pas, de plus en plus, à celle décrite par Ray Bradbury dans ce roman ? Science-fiction ? Anticipation. Ray Bradbury était sans aucun doute un visionnaire.

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