Depuis début juillet, pas de dimanche chez moi. Blog au repos. Blogueuse occupée à d’autres plaisirs. Mais la rentrée est là, alors, je vais essayer de reprendre le cours normal des choses et tenter de vous faire sourire au moins un jour par semaine. Donc c’est à nouveau dimanche. Bonne journée à vous, mes chers lecteurs !

Qui dit rentrée dit école, alors, je commence en classe :

Le professeur de chimie inscrit la formule HNO3 sur le tableau et interroge un élève :
– Que signifie cette formule ?
– Heu, je l’ai sur le bout de la langue, monsieur !
– Crachez-la tout de suite… c’est de l’acide nitrique !

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Vous avez bricolé au printemps et cet été (moi oui). Peut-être avez-vous encore des projets d’aménagement ? Pour vous encourager, amis bricoleurs, écoutez-moi, perdez vos complexes et n’oubliez jamais que l’Arche de Noé a été bâtie par un amateur,  le Titanic, par des professionnels.

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Encore de beaux jours, profitons-en. Une maman promène son petit garçon en poussette dans un parc. Soudain un héron passe dans le ciel. La période des migrations est là ; malheureusement, c’est bientôt la fin de l’été.
– «Tapon, tapon » crie le petit garçon.
La maman, très intriguée, ne dit rien. Tapon ? Pourquoi ? Bizarre…

Soudain un autre héron passe dans le ciel à nouveau.
– « Tapon tapon » s’écrie une nouvelle fois le petit garçon.
Sa maman lui dit alors :
- « Héron, héron, petit, pas tapon ! »

J’ai trouvé cette comptine m’a toujours semblé très glauque. Pas à vous ?
Tuer son chaton ? Pas de SPA en ce temps-là ! Quid du curé aux mœurs étranges ? Drôle de comptine. Est-ce que ça se chante encore ? Sans problème ? Les temps ont bien changé cependant.

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Deux militaires de carrière parlent de leur engagement dans l’armée :
– Pourquoi tu t’es engagé, toi ?
– Moi, parce que j’étais célibataire et que j’aimais la guerre ! Et toi ?
– Oh moi, tout simplement parce que j’étais marié et que j’aimais la paix…

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Un chirurgien, un ingénieur en organisation, un informaticien discutent avec une prostituée. Celle-ci leur dit :
– C’est moi qui exerce le plus vieux métier du monde !
– Vous faites erreur, dit le chirurgien. Pour qu’il y ait des femmes, il a fallu créer la première, et Dieu a créé Eve en prélevant la cote d’Adam. Dieu a fait de la chirurgie. C’est donc mon métier qui est le plus vieux du monde.
– Faux ! intervient l’ingénieur en organisation. Avant Adam et Eve, il a fallu créer le monde. D’après la Genèse, Dieu a fait un plan, programme étalé sur 6 jours. C’est donc mon métier le plus vieux du monde, car avant la Genèse, il n’ y avait rien. C’était le chaos…
– Et à votre avis, dit l’informaticien, qui avait mis le chaos ?
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Deux histoires avec moralité puis j’arrête pour aujourd’hui.

Un moine tibétain marche sur une route de montagne, il fait très froid. Il entend un faible pépiement, regarde autour de lui et voit au pied d’un arbre, un tout petit moineau à moitié mort de froid. Il le prend et le réchauffe dans ses mains. Que faire ? Si je le garde avec moi, il va salir ma robe et, au couvent, le chat le mangera. Si je le laisse ici, il va mourir de froid. Soudain une idée lui vient. Pour le protéger du gel, il place l’oisillon dans une bouse fumante de vache et poursuit son chemin l’âme en paix.

L’oisillon se réchauffe et commence à chanter sa joie d’être encore vivant. Un renard passe par là, entend la bouse de vache chanter. Intrigué il s’approche, découvre notre moineau et… le croque.
Trois moralités à cette histoire :

• 1) Celui qui te met dans la merde ne te veut pas forcément du mal.
• 2) Celui qui t’en sort ne te veut pas forcément du bien.
• 3) Quand tu es dans la merde, ferme ta gueule !

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Un homme sportif qui évolue dans la société commence en bas de l’échelle et fait du basket : sympa et pas cher.
 Il évolue et gagne de plus en plus d’argent : il s’équipe un peu et fait alors du foot.
 Il devient chef de service : il joue au tennis.
 Quand il devient chef d’entreprise : il fait du golf.
Moralité : plus on évolue dans la société, plus les boules sont petites !

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Une devinette pour finir : Quelle est la différence entre un train et un politicien ?

Quand le train déraille, ça le stoppe !

Moi je m’arrête aussi ici. A bientôt. A dimanche prochain (je programme un billet.)