Lorsqu’une population est vaccinée en masse contre le microbe, virus ou bactérie d’une maladie contagieuse, elle bénéficie d’une immunité collective, ce qui signifie que même si une personne est infectée, la contagion ne peut pas s’étendre puisque son entourage est déjà immunisé par le vaccin. Les personnes qui ne peuvent être vaccinées (les nouveaux-nés et les personnes trop fragiles) sont protégées par la résistance du groupe.
Il faut retenir que le taux de vaccination qui permet d’atteindre cette immunité collective dépend des maladies et plus une maladie est contagieuse, plus le taux de vaccination nécessaire est élevé. C’est parce qu’on a vacciné largement la population contre la variole ou la poliomyélite que ces maladies ont disparu ; en ce qui concerne la tuberculose, le BCG a été un peu oublié et la maladie est latente dans certaines régions françaises.
Les épidémies ont toujours changé le cours de l’Histoire. Le Covid fait comme les autres. Le SIDA a pertubé le monde depuis les années 1980 ; quarante ans plus tard, c’est le Covid. Entre temps, il y a eu des tas d’autres infections qu’on a passé sous silence tant qu’elles ne touchaient pas la métropole, la Mère-Patrie, je pense en particulier au chikungunya qui n’était qu’une maladie psychosomatique atteignant les demeurés vivant à La Réunion. “Il n’y a rien de tel dans les publications médicales”. Ce n’est pas écrit, ça n’existe pas. Vous affabulez. Voilà !
Pourquoi aujourd’hui les gouvernements n’affabuleraient-ils pas pour nous contraindre au silence et à l’esclavage ?
Certes, il y a une épidémie mais le monde en a toujours connu et à chaque fois, on isolait les malades, que l’on soignait ou qu’on laissait mourir, mais JAMAIS on avait confiné la population entière. Je me souviens aussi du coronavirus SRAS en 2002-2004, il y a eu de nombreux malades (dont moi) et de la grippe de Hong-Kong particulièrement virulente en décembre 1969 – janvier 1970 avec près de 40 000 décès, dont 17 000 directement imputables à la grippe mais on n’a pas fait tout ce bruit autour et nous avons continué à vivre normalement.
Le comble de la manipulation, en 2020 et 2021, n’est-il pas que :
- l’on nous empêche de sortir après 18 heures sauf quelques dérogations et passe-droits,
- il faille garder ses distances (sociales),
- nous ne devions plus embrasser nos enfants ou petits-enfants,
- il faille garder en permanence ou peu s’en faut un masque, pas cousu maison mais de préférence acheté, conforme à la réglementation (bientôt une amende nous sera infligée si nous ne portons la protection conforme à la norme officielle en vigueur le jour dit)
- il ne faille pas se réunir à plus de six personnes adultes sauf dans les transports en commun dans lesquels les voyageurs sont agglutinés ?
Dans le même temps, les élus et autres représentants du peuple (pas tous, heureusement) se réunissent en grand nombre, sans masque, pendant le couvre-feu, sans gêne aucune, dans notre intérêt et font passer des décisions, des arrêtés, des lois iniques et par dessus tout liberticides. Le gouvernement veut imposer un état d’urgence sanitaire : le projet de loi prolonge jusqu’au 1er juin 2021 l’état d’urgence en cours (au lieu du 16 février) avec un régime transitoire (soit «de sortie») repoussé du 1er avril au 31 décembre 2021.
L’objectif serait de contenir une reprise de l’épidémie de Covid‑19, suite à la découverte de nouveaux variants du virus. Ainsi donc la France se dirige vers une nouvelle année passée sous ce régime qui se caractérise par une centralisation sans pareille des décisions de restriction de nos libertés et par des abus caractérisés de certains roitelets de province.
Depuis la plus haute Antiquité, les civilisations ont dû faire face à diverses flambées épidémiques qui ont souvent duré plusieurs années. Les plus tristement célèbres sont la peste, le choléra, la variole (petite vérole), la diphtérie et le typhus en Europe, accompagnées par des famines et des guerres, des grandes périodes de froid ou de canicules. La peste noire qui a ravagé l’Europe de 1347 à 1352, a exterminé entre 25 et 50% de la population et entraîné des “évolutions” dans l’économie, la géopolitique et la religion.
De nos jours, malgré médicaments et vaccins, une hécatombe est toujours possible, les mouvements incessants des biens et des gens à travers toute la planète augmentent les risques d’autant que trop de personnes négligent de se faire vacciner ou de faire vacciner leurs enfants mais qui veut nous effrayer aujourd’hui avec ces mots : contagion, «flambée», pandémie ?
Il faut se poser des questions et ne pas tout gober docilement : il y a bien une pandémie mais les moyens mis en œuvre pour y faire face sont-ils rationnels ?
“La question, elle est vite répondue“, c’est non.
et ce d’autant que quoiqu’on dise, la mortalité chez les personnes atteintes n’ est que de 0,9%, et encore est il souvent question de comorbidité !
Est il normal qu’ il y ait ce “comité de défense ” dont on ne sait rien, que penser de ces ” spécialistes ” qui s’ écharpent sur les plateaux télé !!
Que dire des mensonges des Buzin, Salomon, Véran, de l’incompétence criante, des aberrations manifestes !
J’attends le bilan de pied ferme !
Bonne journée Françoise
Bisous
bonjour chere Françoise, tu as tout a fait raison, nous nageons en pleine absurdité ! nous sommes noyés sous un flot d’informations, d’allégations, et de certitudes, assénées à coups redoublés sur tous les medias, nos dirigeants ont accumulé les “betises” les plus énormes depuis le début, les masques, les tests, les confinements ou couvre feux, et maintenant les vaccins ! je crois aux vaccins, du moins les anciens, je les ai tous reçus, meme la fièvre jaune, sans aucun effet indesirable, je ne suis pas emballé par u n vaccin trouvé “rapidement” et conservé à -80° , mais je crois à la protection par un maximum de vaccinés, je suis inscrit pour le recevoir, petit problème, les vaccins ne sont pas arrivés à mon centre ? alors que le gvt nous gonfle avec les millions de vaccins commandés ? les moyens rationnels que tu preconises, ne semblent pas être au rendez vous !! amities et bises