C’est dimanche (165)

Bon dimanche. Un dimanche qui peut sentir l’automne dans quelques régions de métropole. Alors pour avoir l’esprit plus léger quelques histoires pour rire. Aujourd’hui c’est l’armée, les soldats et même un peu les gendarmes qui vont nous amuser.

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Aux journées portes ouvertes d’une base militaire, lors d’une tombola, trois personnes ont gagné un tour dans un petit avion avec un général de l’armée française. Les gagnants sont un jeune scout, un vieil homme et un avocat. Tout le monde monte dans le petit avion et une fois en l’air, le général prend la parole :
“Bonjour à vous tous. Vous savez, je suis celui qui a dressé les plans de cette base aérienne”. Il la montre au travers du hublot puis il ajoute : “Et on peut dire que de faire les plans d’une telle base nécessitait vraiment quelqu’un à la clairvoyance et à l’intelligence hors du commun”.

Un modeste ! Malheureusement, dans la seconde qui suit la fin de sa phrase, une explosion réduit à néant le moteur de l’appareil, tuant le pilote. Rapidement, l’avion perd de l’altitude et comme personne ne sait piloter, tout le monde se met à la recherche des parachutes. Il y en a trois. Le général (courageux, non ?) est le premier à en prendre un, justifiant son geste par “Je suis un des cerveaux de ce pays, je dois survivre”.

L’avocat prend le deuxième parachute en disant : “Je suis indispensable à mes clients” (on imagine bien qui sont les clients de cet avocat) et il saute à son tour.

Ne restent plus que le scout et le vieil homme. Le vieil homme regarde le jeune scout et lui dit : “Fils, tu as toute ta vie devant toi, alors que moi, j’ai eu mon temps. C’est toi qui va prendre le dernier parachute.”

Et le scout répond :

“Oh, ne vous en faites pas, il reste encore deux parachutes… Le “cerveau” a pris mon sac à dos.”

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Ils ne sont pas si bêtes les soldats, quoi qu’on dise pour se moquer. Très malin fut ce vieil adjudant-chef. C’était quelqu’un qui avait le sens de l’à-propos (un profiteur de système, comme il y en a de plus en plus.)

L’armée de terre avait un excédent d’hommes ; elle offrit un programme d’incitation à la retraite et promit à tous les volontaires désirant prendre leur retraite une somme de 200 euros pour chaque centimètre mesuré en ligne droite entre deux points différents du corps. Chaque militaire pouvait choisir quelles parties du corps il pouvait utiliser pour déterminer le montant de la prime.

Le premier candidat demanda que la distance entre le dessus de sa tête et le bout de ses orteils soit utilisée. Comme il mesurait 1 m 80, il a obtenu une prime de 36 000 euros.
Le deuxième candidat, un peu plus rusé, demanda d’être mesuré du bout de ses bras levés au-dessus de sa tête au bout de ses orteils. Il obtint 46 000 euros.
Le troisième candidat , un vieux juteux-chef qui en avait vu plus d’une, demanda à être mesuré du bout de son pénis jusqu’à ses testicules.
On lui recommanda de reconsidérer la situation, soulignant les montants avantageux que les deux premiers candidats avaient reçus. Le vieux soldat insista et on respecta son choix à condition que la mesure soit prise par un médecin militaire.
Le médecin militaire arriva et demanda à l’adjudant-chef de baisser son pantalon, ce qu’il fit. Le médecin plaça le ruban à mesurer sur le bout du pénis de l’adjudant-chef et recula.
– “Mon Dieu !” dit le médecin, “mais où sont vos testicules ?”
Le vieil  adjudant-chef répondit calmement : “ En Indochine ! ”
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Un militaire aborde une prostituée.

– “Dites-moi…. Est-ce que pour 100 euros vous accepteriez ma compagnie pour la nuit ?”- “Oh, bien oui, bien sûr, sans problème !”

Alors le soldat se retourne et crie :

– “COMPAGNIE, EN AVANT, MARCHE !”

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Les gendarmes sont des soldats et n’échappent pas à nos moqueries. Mais peut-être est-ce un futur policier dont il est question… Un candidat passe son examen en vue de recevoir : 1. son képi
2. son ceinturon
3. son revolver
L’examinateur lui pose trois questions.

1. “Quel personnage a perdu la bataille à Waterloo ?”
Il n’obtient pas de réponse.
– “Je suis certain que vous connaissez la réponse, son nom commence par la lettre N.”
Toujours pas de réponse.
– “Ensuite, il y a la lettre A.”
– “Na, Na ….. Navarro ?”
– “Mais non… NA… NA… puis il y a un P.”
– “NAP, NAP… Napoléon ?”
– “Oui, c’est bien cela. Vous avez droit à votre képi.”

2. “Quel était le nom de l’innommable dictateur allemand en 1940 durant la seconde guerre mondiale ?”
Pas de réponse.
– “Allons, réfléchissez, son nom commençait par HI.”
– “E.T. ?”
– “Non, il avait une moustache comme ça (et il met 2 doigts sous ses narines) ?”
– “Hitler ?”
– “Bravo, vous avez droit à votre ceinturon.”

3. “Qui a tué Jésus-Christ ?”
– “Ça, je n’en ai aucune idée.”
-“Écoutez”, lui dit l’examinateur, “rentrez chez vous, nous sommes vendredi, vous êtes fatigué, moi aussi, revenez lundi et de préférence avec la réponse.”

Le candidat rentre chez lui, tout fier, avec son képi tout neuf et son beau ceinturon et sa femme lui demande comment s’est passé l’examen ?
– “Très bien”, dit-il, “j’ai répondu à deux questions bêtes, les doigts dans le nez, tu me connais, et on m’a déjà donné ma première enquête.”

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Une histoire qu’on ne peut plus raconter, je crois, à cause du progrès technique.
Un homme circule en voiture et aperçoit un auto-stoppeur. Je m’arrête, je m’arrête pas… se dit-il. Il s’arrête et le regrette aussitôt car l’auto-stoppeur a ce qu’il convient d’appeler un aspect louche.
– “Vous allez où ?” demande-t-il à son passager.
– “Tout droit, je vous dirai…”
Pas causant le mec, morose, un taiseux. Histoire que le “supplice” dure un peu moins longtemps, l’automobiliste accélère et à la sortie d’un village, il est arrêté par des gendarmes.
– “120 kilomètres-heure dans une agglomération, bravo Monsieur ! Vos papiers, s’il vous plaît.”
Le conducteur tend ses papiers en se disant qu’il va ramasser une prune bien salée, tout ça parce qu’il a pris un stoppeur et qu’il avait simplement hâte de ne plus l’avoir dans sa voiture.
Pendant que le gendarme remplit son procès verbal, l’auto-stoppeur en question descend se dégourdir les jambes. Une fois, les documents remplis, l’automobiliste et son passager repartent (ça, c’était avant parce que maintenant quand il y a grand excès de vitesse, on ne reprend pas le volant, le véhicule est confisqué et/ou conduit par quelqu’un d’autre).
Un moment plus tard, au beau milieu de nulle part, le stoppeur dit :
– “Arrêtez-moi là, s’il vous plait, je suis arrivé.”
En descendant de la voiture, il jette un objet sur la banquette en disant :
-“Tenez, ça paiera mon voyage.”
C’était le carnet de contravention du gendarme.
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 Il ne faut donc pas se fier aux apparences, les “taiseux” ne sont pas des ingrats. Et ne dit-on pas qu’un bienfait n’est jamais perdu ?

Allez “bon dimanche et à demain.”
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