Les vacances approchent, les ponts de fin de semaine sont nombreux en cette période, les rires du jour sont liés aux vacances. Bon dimanche avec plein de soleil et de bonne humeur.

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Un homme raconte ses vacances à son meilleur collègue :

– « La première semaine, on a tout subi : la pluie, la neige, la grêle, le verglas, les tempêtes… les quatre saisons en une semaine et la deuxième semaine, ça s’est gâté… »

– « Ah bon ? Pire ? Qu’est ce qui s’est passé ? »

– « Ma belle-mère est venue. »

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Mon mari m’a dit qu’il voulait passer ses vacances dans un endroit où il n’est jamais allé. J’ai répondu :

« Et pourquoi pas la cuisine ? »

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Un citadin (je n’ai pas écrit parisien pour ne pas les vexer tous) en vacances à la campagne passe devant un champ et demande au paysan occupé à sa récolte :

– « Mais comment faites-vous pour obtenir des radis aussi gros ? »

– « Ce n’est pas compliqué, Monsieur: j’ai semé des graines de betterave rouge ! »

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Deux amis japonais se rencontrent un matin dans les rues de Tokyo. L’un d’eux vient tout juste de rentrer de ses vacances, l’autre lui demande :

– « Alors, comment s’est passé ton séjour ? »

– « Je ne sais pas, j’ai pas encore développé les photos… »

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Jules a huit ans et passe ses vacances chez sa mémé. Un jour, il s’approche d’elle et lui demande :

– « Mamie, mamie, je peux t’apporter le fusil de papi ? »

– « Mais pourquoi veux-tu m’amener le fusil de chasse de papi ? Tu sais bien que je ne sais pas tirer et puis je suis bien trop vieille pour utiliser un fusil de toute façon ! Et surtout, c’est dangereux ; un enfant ne doit pas toucher à ces choses-là.»

– « Mais mamie, c’est pas pour tirer avec, c’est pour le mettre à côté de toi. »

– « Et pourquoi veux-tu le mettre à côté de moi ? »

– « Parce que papa a dit : Quand votre mamie passera l’arme à gauche, je vous emmène tous à Eurodisney ! »

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Deux Belges vont a la mer pour la première fois! Ils arrivent quand la marée est haute, ils remplissent une bouteille d’eau comme souvenir. Ils reviennent plus tard dans l’après-midi et  cette fois, la marée est basse :

« Ben dis donc nous ne sommes pas les seuls a avoir pris de l’eau, une fois ! »

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Variante :

Un Belge est en vacances près du Mont Saint-Michel. Il remplit une petite bouteille avec de l’eau de mer. Le gardien de la plage lui demande pourquoi il fait cela. Le Belge explique qu’il collectionne l’eau de mer et qu’il en prend à chaque plage où il va. Le gardien lui facture l’eau de mer pour 10 euros, somme que le Belge paye volontiers. Le lendemain matin, de sa chambre d’hôtel, à marée basse, il voit que la mer a reculé de deux cents mètres au moins. Il s’exclame alors :

« Mais quel fric il se fait, ce gardien ! »

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Un Français et un Belge sont très amis et décident de partir ensemble en voyage dans le Pacifique. Ils achètent un bateau et partent vers l’aventure. La chance ne leur souriant guère, ils doivent affronter une tempête et leur embarcation se fracasse sur des rochers Là, ils se retrouvent nez-à-nez avec une tribu indigène, les Wapalabas dont le chef (qui parle français) dit : “Étrangers, vous avez profané la terre sacrée des Wapalabas et pour avoir la vie sauve, vous devez prouver votre valeur en subissant quelques épreuves.”

Les deux naufragés attendent et le chef poursuit :

– “Pour commencer vous allez dans la forêt chercher cent fruits chacun et les rapporter, ici au plus vite.”

Les deux hommes ne réfléchissent guère et foncent vers les arbres bien décidés à survivre..

Le Français revient le premier avec ses cent fruits. Il a récolté des letchis (ça, c’est l’orthographe à La Réunion, on peut écrire lychees, litchis…). Le chef lui dit alors : “Maintenant tu dois te mettre tes cent fruits dans le derrière sans pleurer, ni gémir et encore moins rire comme le ferait n’importe quel homme Wapalaba.”

Le Français obéit en disant “heureusement que ce sont des letchis, une fois épluchés, ça glisse” mais au quatre-vingt-dix-neuvième letchi, il éclate de rire. Le pauvre Français est alors tué.

Une fois mort, il arrive très vite aux portes du Paradis mais Saint Pierre lui refuse l’entrée de ce lieu. Le Français demande à ce grand saint les raisons de ce choix, lui qui s’est bien comporté toute sa vie durant, qui a toujours été honnête et plutôt bon et généreux.

Saint Pierre le regarde et lui répond ” Tuas à fait preuve d’une cruauté incroyable en te riant du malheur de ton ami en danger”.

Alors, honteux mais dans un sourire à peine retenu, le Français dit : “Ce n’est pas de ma faute, ça a été plus fort que moi mais quand j’ai vu mon ami belge rapporter cent noix de coco, d’un seul coup, en pensant à ce qu’on allait lui demander, je n’ai pas pu me retenir.”

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Trois animaux autour d’une table parlent de leurs vacances à venir. Il y a un ours, un dauphin et un crocodile…

L’ours dit : « Comme toute ma famille est dotée d’une bonne fourrure, nous avons décidé de partir dans un pays froid, ce sera donc le Pôle Nord. »

Le dauphin dit : « Vu que Dieu nous a donné des nageoires, nous avons opté pour les vacances au grand large dans l’océan Atlantique. »

Le crocodile quant à lui  dit : « Ma femme a une grande gueule, mes enfants ont une grande gueule, en ce qui concerne la mienne n’en parlons pas, elle est encore plus grande, c’est pour cette raison qu’on a décidé de passer nos vacances en France. »

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Reconnaissez avec moi que ça, c’était avant quand les Français avaient encore le moral et du tonus. Grandes gueules, les Français ? Non, ils ont tendance de plus en plus à se taire et à laisser faire.

Bon dimanche et à bientôt malgré tout ce qui peut nous tracasser.