C’est dimanche. Je reprends le cours de mes dimanches, si je peux tenir le rythme. Pour coller à l’actualité et à la neige qui semble avoir perturbé le trafic routier en métropole, des histoires de neige. Il est préférable de garder le sourire, toujours.

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C’est un peu tard pour les histoires de Noël mais comme il y a de la neige, alors… Un garçon écrit au Père Noël.
“Bien cher Père Noël, mes parents sont très pauvres et je sais qu’ils ne  pourront pas me donner de cadeau cette année encore mais je ne demande pas grand chose, je veux juste pouvoir aller jouer avec mes copains dans la neige ; pour ça, il me faudrait un bonnet, une écharpe et une paire de gants.
Je sais que tu es très gentil et je pense que tu me donneras tout ça. Je te remercie d’avance”

Il met sa lettre dans une enveloppe à l’attention du Père Noël et la dépose dans une boite aux lettres de la poste.

La préposée au tri, intriguée, ouvre l’enveloppe et lit la lettre. Toute émue, elle en parle à son collègue et ils décident d’offrir au gamin ce qu’il demande. Ils donnent 10 euros chacun (on est mal payé à La Poste) et achètent pour ces 20 euros un bonnet et une écharpe qu’ils emballent dans un joli paquet cadeau et qu’ils envoient au petit garçon.

Quelques semaines plus tard, la même employée des postes tombe sur une enveloppe identique encore adressée au Père Noël, elle l’ouvre et voilà ce qu’elle lit :

“Cher Père Noël,
Je te remercie beaucoup pour le bonnet et pour l’écharpe. Malheureusement, sans les gants je n’ai pas vraiment pu jouer dans la neige avec mes copains. Je ne t’en veux pas cher Père Noël, je sais bien que ce n’est pas de ta faute. C’est sûrement ces enfoirés de La Poste qui les ont piqués.”

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On peut rire de tout. Alors une histoire de religion : cette histoire se passe en plein hiver, aux États-Unis  (où la communauté juive est importante aussi),  alors qu’il fait – 20° C dehors et que la neige recouvre tout le pays, le vieux Simon Lévy est à l’article de la mort. Dans un souffle, il demande à sa femme Rachel, qui est auprès de lui, d’appeler un prêtre pour l’accompagner dans ses derniers instants :

– “Mais enfin, Simon, tu n’as plus toute ta tête, pourquoi veux-tu un prêtre ?”

Alors Simon répond :
– “Avec un temps pareil, je vais quand même pas déranger le rabbin !”

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Devinette misogyne :  “Pourquoi les femmes ne partent jamais aux sports d’hiver ?”
Réponse : – T’as déjà vu de la neige dans la cuisine ?

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Et une histoire misogyne :

C’est un gars au Canada, et au lit, qui écoute la radio avec sa femme (une très belle blonde). Un matin, à la radio, ils entendent :
” Nous annonçons 10 centimètres de neige aujourd’hui alors veuillez mettre vos voitures du côté pair de la rue pour le déneigement.”
La femme se dépêche et va placer l’auto du côté pair.
Le lendemain, ils écoutent encore la radio qui dit : “Nous annonçons 15 centimètres de neige aujourd’hui alors veuillez mettre vos voitures du côté impair de la rue pour le déneigement.”
La femme se dépêche et va placer l’auto du côté impair.
Le lendemain, ils écoutent encore la radio : “Nous annonçons ce matin 30 centimètres de neige aujourd’hui ; veuillez mettre vos voitures krr… krrr… rmmr… khhhrrrr… “

Et une panne d’électricité interrompt l’émission.
La femme perplexe regarde son mari et lui dit :
– “Qu’est-ce que je vais faire, il n’a pas dit de quel côté mettre l’auto?”

L’homme la regarde et lui dit alors, avec beaucoup de compassion :

– “Pourquoi aujourd’hui , tu la laisserais pas dans le garage?”

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Pour finir, une longue histoire pour les Parisiens et tous ceux qui rêvent de la vie à la montagne :

1° août : “On a emménagé aujourd’hui dans notre nouvelle maison, en Haute Savoie. C’ est vraiment magnifique. Les montagnes sont si majestueuses, le ciel est si bleu; Je suis impatient de voir les sommets couverts de neige. J’adore cet endroit.

Fin octobre : la Haute Savoie est sans doute le plus bel endroit de la planète. Les arbres passent par toutes les nuances du rouge et de l’orange. Je suis allé en promenade et j’ai aperçu des cerfs. Ce sont des animaux merveilleux. J’ai l’impression d’être au paradis, j’adore cet endroit.

11 novembre : bientôt l’ouverture de la chasse. J’ai du mal à imaginer qu’on puisse tuer des créatures vivantes et gracieuses comme les cerfs. J’espère qu’il va bientôt neiger.

10 décembre : il a neigé cette nuit pour la première fois Au réveil, j’ai vu que tout était recouvert de blanc. On dirait une carte postale. Nous sommes partis pour déblayer la neige sur les marches et nous avons dégagé le chemin d’accès à la pelle.
Nous avons fait une bataille de boule de neige (j’ai gagné), mais le chasse neige est passé, nous avons du reprendre les pelles. Quel endroit merveilleux, j’adore la Haute Savoie.

12 décembre : encore de la neige, cette nuit. J’adore. Le chasse neige nous a refait une farce en encombrant le chemin.

19 décembre : encore de la neige cette nuit. Je n’ai pas pu aller travailler. Le chemin était obstrué par la neige. Je suis exténué à force de pelleter. Enfoiré de chasse neige !

22 décembre : cette merde blanche est encore tombée toute la nuit. J’ai des ampoules pleins les mains à cause de la pelle. Je suis sûr que le chasse neige est planqué dans le virage et attend que j’ai dégagé le chemin. Sale connard !!

25 décembre : Joyeux Noël ! Joyeux Noël de merde, oui. Cette saloperie de neige et ce connard de chasse-neige ! Si seulement je pouvais mettre la main sur le fils de p… qui conduit cet engin, ma parole je lui fais la peau. Je me demande pourquoi ils n’ont pas rajouté de sel sur la route pour faire fondre cette p… de glace.

27 décembre : encore et toujours cette merde blanche, la nuit dernière. Je suis resté enfermé trois jours, sauf pour dégager le chemin à chaque passage du chasse neige. Je ne peut plus aller nulle part. La voiture est restée enfouie sous un tas de neige. Le gars de la météo dit qu’on doit s’attendre à 25 cm de merde cette nuit. Vous avez une idée de combien de pelletées ça représente , 25 cm de neige ? Vous imaginez ?

28 décembre : la météo s’est gouré… Cette fois c’est plus de 80 centimètres qu’il est tombé. A ce train là ça ne fondra pas avant l’été. Le chasse neige est resté coincé sur la route, le connard qui le conduit est venu à la porte pour m’emprunter une pelle. Après lui avoir raconté que j’ai déjà bousillé 6 pelles en dégageant la neige qu’il balançait dans mon allée, je lui ai cassé la dernière sur la gueule. Ben ouais…

4 janvier : aujourd’hui j’ai quand même pu sortir aujourd’hui. Je suis allé au magasin acheter de la nourriture, et sur le chemin du retour, un  cerf est venu taper l’avant de ma voiture. Mille euros de dégâts ! On devrait massacrer ces saloperies de bestioles. Je croyais que les chasseurs les avaient toutes tuées en novembre.

3 mai : j’ai conduit la voiture au garage en ville. Vous me croirez si vous voulez, la caisse est toute rouillée à cause de cette saloperie de sel qu’ils ont mis partout sur la route.

30 juin : les déménageurs sont là. On retourne à Paris. Je n’arrive pas à imaginer que quelqu’un de sain d’esprit puisse avoir envie de vivre dans ce foutu pays.

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Qui disait que le pré du voisin est toujours plus vert ?

Allez bon dimanche où que vous soyez.