Treize ans après le 11 septembre 2001, nous nous trouvons à nouveau au seuil d’une nouvelle guerre. Mondiale, peut-être. Qui sait ? Une chose est sûre, l’ambiance est tendue sur toute la planète.

Le 11 septembre 2001, ce fut un choc énorme pour les Américains habitués à se considérer comme hors d’atteinte du terrorisme international ; ce fut un choc énorme pour le reste de l’Occident qui croyait aussi tout puissant le géant américain. Les États-Unis faisant face à une agression sans précédent, c’était incroyable malgré les reportages en direct. Qui n’est pas resté collé devant un écran de télévision ce soir-là ?

Les attentats du 11 septembre ont été à l’origine d’un ralentissement économique significatif (sauf pour les assureurs) et de la prise de conscience angoissante que plus personne n’est à l’abri, où que ce soit.

Ce 11 septembre 2014, le président Obama promet de «Je n’hésiterai pas à agir contre l’EI en Syrie, comme en Irak », tout en réaffirmant que l’envoi de troupes américaines de combat au sol était exclu, M. Obama a annoncé l’envoi de 475 conseillers militaires supplémentaires en Irak pour soutenir les forces kurdes et irakiennes en termes d’équipement, de formation et de renseignement. Une guerre différente, a dit Barack Obama.

Si l’Occident sait comment commencer une guerre, au Moyen-Orient ou ailleurs, il ne sait souvent pas comment la terminer et les conflits s’enlisent.

La France ou plutôt certains chefs d’état français, qui croit encore à la grandeur de notre pays, envoient nos soldats, pas toujours bien équipés, au cœur de différents conflits. La France se sent bien seule, surtout quand il s’agit de payer ces interventions.

Quelle participation pour nous ?

Que va-t-il se passer ?