C’est déjà dimanche, une fois de plus. Que les journées passent vite en famille, l’été avec le soleil ! Vingt-quatre heures par jour, c’est bien trop court. Pour rire, pas de belles-mères, ni de blondes mais des belges, une fois, non… des Juifs une nouvelle fois. Un soir à Bruxelles, place Debrouckère, un affrontement entre flamands et wallons dégénère en véritable bataille rangée. Des cars de police arrivent, le bourgmestre sort furieux et crie dans un portevoix :
– “A présent ça suffit : séparez-vous ! Les flamands à ma droite, les wallons à ma gauche, et je ne veux plus en voir un seul qui bouge !”
A ce moment-là on voit le rabbin sortir, suivi de ses ouailles. Il demande alors : -” Et nous, Monsieur le bourgmestre, nous, les vrais Belges, on se met où ?”
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M. Worms, d’Europe de l’Est, se présente à la synagogue de Bar-sur-Marne pour le poste de chamach (l’équivalent du bedeau de l’église catholique). Le conseil d’administration est tout à fait favorable mais, au moment de signer le contrat, on s’aperçoit avec consternation que ce monsieur Worms ne sait ni lire ni écrire. Ils ne peuvent pas embaucher un illettré.
M. Worms commence alors à faire de la vente à domicile, au porte à porte. Ça marche très bien pour lui ; c’est un travailleur. Il achète ensuite une voiture. Ça marche encore mieux. Il ouvre un magasin, puis un deuxième. Il veut en ouvrir d’autres, mais pour cela il doit demander un prêt à sa banque. Le directeur de la banque ne demande pas mieux que de prêter à un client si solvable. Il donne les documents du dossier de crédit à parapher à Monsieur Worms. Celui-ci signe d’une croix. Le directeur n’en croit pas ses yeux :
-” Vous ne savez pas écrire ?”
– “Comme vous voyez.”
– “Et malgré cela, vous avez réussi à monter une si belle affaire ! Vous vous rendez compte de ce que vous seriez devenu si vous aviez su écrire ?”
– “Si j’avais su écrire ? je serais le chamach de la synagogue de Bar-sur-Marne.”
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Un contrôleur du ministère de l’Agriculture en Israël mène son enquête dans un kibboutz.
– “Qu’avez-vous donné à manger aux poules, ces derniers mois ?”
– “Du blé.”
– “Comment, du blé ? Mais c’est interdit par le ministère, vous avez donc une amende !”
L’année d’après, l’inspecteur revient dans le même kibboutz.
– “Qu’avez-vous donné à manger aux poules, cette année ?”
– “De l’orge.”
– “Comment, de l’orge ! Mais c’est tout a fait interdit par le ministère ! Vous aurez une amende !”
Chaque année, l’inspecteur passe et le responsable des poules a toujours tort qu’il donne à ses poules du mais, de l’épeautre, du millet, du seigle ou autre chose. A la fin, le kibboutznik en a assez et décide de se débarrasser de cet inspecteur déplaisant.
– “Qu’avez-vous donné à manger à vos poules, cette année ?”
– “Vous savez, cette année, je leur ai donné de l’argent et je leur ai dit de se débrouiller toutes seules.”
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Joseph, quatre-vingts ans, a été renversé par une voiture et repose sur le trottoir, assez mal en point. Un policier arrive sur les lieux et, en voyant la victime, appelle immédiatement une ambulance et un prêtre.
Le curé arrive le premier et constate que le vieil homme est dans un état grave ; sa dernière heure est arrivée. Il lui pose alors les questions d’usage :
– “Croyez-vous en la Sainte Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit ?”
Joseph trouve la force de lever la tête, ouvre les yeux et demande à tous les gens qui le regardent :
– “Je suis allongé ici en train de mourir et lui il joue aux devinettes !”
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Monsieur Goldstein veut absolument être admis dans un club très select et très antisémite. Il va même jusqu’à changer son nom. Fin prêt, il présente sa candidature.
– “Bonjour, je voudrais faire une demande d’admission dans votre grande institution.”
– “Certainement, monsieur, répond l’employé en s’emparant d’un formulaire. Puis-je vous demander votre nom ?”
– “Philippe de la Closerie.”
– “Très bien, monsieur de la Closerie, et puis-je vous demander quelle est votre profession actuelle ?
– “J’ai une affaire d’import-export.”
– “Excellent, monsieur, et puis-je vous demander votre adresse ?”
– “110, rue Saint-Dominique, à Paris, 7ème.”
– “Très bien, monsieur. Excusez-moi, mais je suis obligé pour le règlement de vous poser une dernière question, j’espère vous ne le prendrez pas mal : quelle est votre religion ?”
– “Ma religion ? Oh, je suis goy…”
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Un pasteur protestant entre chez un coiffeur italien et se fait couper les cheveux. Au moment de payer, le coiffeur lui dit:
– “Je suis catholique, mais les pasteurs ont tout mon respect, c’est pourquoi je refuse de vous faire payer.”
Le pasteur remercie et le lendemain il repasse par la boutique du coiffeur pour lui offrir un beau crucifix.
Quelques jours plus tard c’est un curé qui vient pour une coupe. Après avoir officié, le coiffeur lui dit:
– “Je suis catholique pratiquant et pour moi les curés sont sacrés: je m’en voudrais de vous faire payer.”
Le curé s’en va et le lendemain il apporte un superbe missel au coiffeur en remerciement.
Quelques jours plus tard un rabbin entre dans la même boutique et le coiffeur lui déclare, après avoir fait son œuvre et refusé son argent:
– “Je ne suis pas juif mais catholique et j’ai beaucoup d’estime pour tous les religieux : je vous fait cadeau de cette coupe.”
Le rabbin remercie le coiffeur et revient le lendemain avec un autre rabbin.
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Il va me falloir trouver des histoires d’Écossais maintenant.
Allez, BON DIMANCHE !
Merci à vous Françoise pour ce rire dominical !
Bonne journée à toute la famille ! Bises.
j’ ai bien noté de ne jamais faire de cadeau à un juif en tant que goy !
bon dimanche Françoise
bisous
Salut Françoise. Dans tes histoires, je retiens la première. C’est vrai que si ça continue les vrais belges ne seront plus ceux qui devraient l’être. Belgique terre d’accueil. Amicalement.
Bonjour
Pour dernière j’ai doublement rie, car un pasteur n’utilise pas de missel… nous on ne connait pas ça !!! donc l’auteur à une certaine méconnaissance du sujet !!!
Sans rancune j’espère….
Jean
Merci Jean pour le commentaire. Après lecture, j’ai rectifié la prose. J’ai donné le missel au curé (au prêtre) et le crucifix au pasteur ; ça marche dans ce sens ?
Oui, je connais la religion catholique mais pas le protestantisme qui pourtant me tentait plus que le catholicisme. J’avoue que, comme bon nombre de gens, j’ai un peu oublié la religion et surtout les pratiques, pas les principes moraux. C’est le principal, non ?
Bonne journée, Jean.
Bises amicales et sincères.