En novembre dernier, j’ai pensé au printemps et à un vers de Pablo Neruda.
“Ils pourront couper toutes les fleurs, ils n’empêcheront pas le printemps.”
Le printemps a été source d’inspiration pour plusieurs billets que vous pouvez trouver LÀ, LÀ, LÀ et ailleurs encore mais je m’attache à Pablo Neruda aujourd’hui que nous devrions tous découvrir si nous ne le connaissons pas encore. Comment ne pas faire nôtres ses mots :
Il meurt lentement :
- celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins,
- celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements ou qui ne parle jamais à un inconnu,
- celui qui évite la passion,
- celui qui ne change pas de cap lorsqu’il est malheureux au travail ou en amour,
- celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves,
- celui qui, pas une seule fois dans sa vie, n’a fui les conseils sensés.
- celui qui ne voyage pas,
- celui qui ne lit pas,
- celui qui n’écoute pas de musique,
- celui qui ne sait pas rire de lui-même.
Vis maintenant.
Risque-toi aujourd’hui.
J’ai reçu ces mots comme une déclaration de foi en la vie, en l’intelligence, en l’espoir. Et vous qu’en pensez-vous ? Qu’en faites-vous ?
Moi, j’ai pensé à la jeunesse, à l’amour, à la LIBERTÉ.
C’ est en effet à méditer, dans un pays qui joue au panem et circences, et nous prive tous les jours un peu plus de libertés essentielles !
bonjour chere Françoise, tiens j’ai la meme publication sur FB du grand ecrivain Pablo Neruda ! declaration de foi en la vie ! à bien y réflechir , bonne soirée, grosses bises bon dimanche !