Depuis des semaines, je n’arrive plus ni à lire ni à écrire. Certes mes yeux ont des problèmes depuis plus d’un an et je n’ai pas pu encore me faire opérer mais c’est pour voir de loin que j’ai des soucis, de près ça va sauf que mon inconscient, mon cerveau se bloque pour des tas d’activités : j’ai du mal à me concentrer sur la lecture ou l’écriture. Pourquoi ? C’est simple : ce sont sans doute des effets secondaires du “traitement” de la Covid-19 par les autorités.
Je veux bien porter un masque pour protéger la communauté, les autres et moi-même, mais je ne peux que me révolter contre le matraquage que l’on fait autour de ce virus. Je ne retiens que :
- les contraintes imposées à tous sont disproportionnées au mal,
- la gestion de l’épidémie est ubuesque,
Ubuesque est bien le terme qui convient : qui évoque le grotesque du père Ubu, despote, cruel, cynique, fanfaron, au caractère outrancier capable de petitesses dérisoires.
Vous connaissez le Père Ubu, créé en 1895 par Alfred Jarry, l’inspirateur des surréalistes et du théâtre de l’absurde. L’odieux personnage du père Ubu est un “phynancier hénaurme” dont la stratégie est le chaos ; il a à ses côtés, la Mère Ubu, sournoise, avide, qui n’a de cesse de protéger son ambition, alternant diaboliquement fausse soumission et détermination implacable. Les armes d’Ubu sont le croc à finances et la machine à décerveler. Devenu roi à la place du roi, Ubu distribue de l’argent au peuple pour lui reprendre sous forme d’impôts, un système baptisé «pompe à phynance» capable d’assécher tous les «bas de laine». Aucun doute, aujourd’hui nous y sommes, Ubu est notre roi (en moins gros) mais nous voyons dépenser des milliards pour faire face à la crise. La gestion du pays est devenue surréaliste ; attention à nos porte-monnaie !
Ce matin, j’ai découvert un message aonyme sur Facebook qui a trouvé écho chez moi. Je vous le livre tel quel (juste quelques modifications de ponctuation et d’orthographe):
C’est insupportable !
“Je n’en peux plus de ce Covid. Je veux sourire à nu, embrasser et toucher. Voilà exactement ce que je ressens et qui pourrait me tuer plus vicieusement qu’un virus.Je me suis arrêtée faire une course en rentrant du boulot, j’ai saisi mon masque chirurgical dans la boite à gants de ma voiture, je l’ai mis sur mon visage et suis entrée dans le magasin…
Quand la porte coulissante s’est ouverte, j’ai redressé la tête et ouvert grand les yeux… une vision presque apocalyptique m’a sauté aux yeux. Je regardais tous ces gens, masque sur le visage et je me suis dis à cet instant : “C’est quand même pas possible que ce soit devenu une réalité là”.
Je me suis revue prendre mon masque dans la boite à gants, comme si je l’avais toujours fait… Tout à coup une peur glaçante m’a envahie à l’idée que cela puisse durer indéfiniment. Je me suis demandée comment nous allions revenir en arrière.
J’ai imaginé le jour où un communiqué officiel nous dirait : “Citoyens, citoyennes, la guerre est finie, vous pouvez enlever vos masques, nous sommes enfin libres !” À cet instant même j’ai repensé aux mots de Mr Macron : “Nous sommes en guerre.”
Mais de quelle guerre s’agit-il exactement ? La guerre contre un virus meurtrier si j’ai bien compris, n’est-ce pas ? Mais qu’a donc ce virus de plus que les autres pour mettre une planète entière à genoux ? Jamais on ne nous a imposé le masque pour la grippe qui tue beaucoup plus et depuis bien plus longtemps.
Qu’a-t-il donc de si horrible pour infliger à l’être humain de se couper de ses proches ?
Qu’a-t-il donc de si terrible pour enfermer les vieux, nos vieux, dans douze mètres-carrés pendant des mois, privés de visites, de bisous, de tendresse de leur proches ?
Qu’a-t-il donc ce virus pour condamner avant même de l’avoir attrapé, des professions entières, et là je pense aux artistes, au tourisme (ma fille en BTS tourisme 2ème année sans possibilité de faire de stage)Qu’a-t-il de plus que le VIH ?
A-t-on empêché les gens de faire l’amour, quand celui-ci est apparu ? A-t-on mis en place une contravention de 135€ pour ceux qui baisaient sans capote ? A-t-on condamné les porteurs de ce virus, après avoir délibérément ou non, contaminé leur partenaire ?Alors oui c’est plus facile d’exiger de nous que l’on porte un masque sur le visage, surtout qu’il y a un sacré stock à épuiser après en avoir tant manqué… que de mettre une capote lorsque l’on prend du bon temps. Beaucoup plus facile à verbaliser aussi… Tout ça au nom de notre santé !
Comment peut-on accepter toutes ces injonctions paradoxales et anxiogènes ? une telle privation de nos libertés ? Même au nom de notre santé. Qui peut décider pour nous ? Et franchement, quelqu’un d’autre que nous doit-il décider pour nous, tout simplement ?
Je suis profondément exaspérée par tous ces protocoles, et dans tous les domaines quels qu’ils soient. Protocoles qui sont soi-disant mis en place pour la protection de la population alors qu’à côté de ça, on nous empoisonne tous les jours, avec l’eau qu’on boit, l’air qu’on respire, l’alimentation qu’on nous vend. Pour notre santé, n’oublions pas de consommer sept pesticides par jour… Enfin sept fruits et légumes par jour, c’est le slogan.
Avant hier, j’ai entendu une femme dire : “Que c’est dur de ne pas pouvoir embrasser ma mère” Et comment que c’est dur ! Mes parents et ma grand mère centenaire qui va forcément disparaître dans un futur proche ont tellement la trouille de toutes ces infos qu’ils ne veulent même plus ni que je les approche ni que je les embrasse. J’en crève, j’enrage, je suffoque d’amour frustré. Voilà ce que ce virus empêche… voilà ce que ce virus enlève aux gens : la tendresse, la proximité, le toucher… Alors oui, il tue. Comme beaucoup d’autres virus.
Ce qu’il y a de pire dans cette histoire, c’est que ça n’est pas lui qui nous isole, nous prive de nos libertés fondamentales, de notre libre-arbitre. Non, ce sont ceux qui décident à notre place pour notre bien ou notre mal.
Alors quand j’ai mis mon masque pour aller faire mes courses, j’ai senti en moi monter une révolte contre tout ça, contre ces décisions prises pour moi, à ma place, sans jamais me concerter, comme si j’avais juste deux ans…
Franchement j’ai eu envie de pleurer.
Moi aussi et je pleure.
je suis bien d’ accord, que notre gouvernement s’ est montré lamentable et contradictoire dans la gestion de ce virus dès le départ, et qu’aujourd’hui encore, ses décisions sont ubuesques !
Je me demande si le but n’ est pas d’empêcher la révolte populaire qui gronde !
On voit de plus en plus de ” spécialistes ” allant dans le sens du gouvernement, et très peu de l’avis du professeur Raoult.
c’ est terrible l’incertitude !
gardons quand même espoir Françoise
bisous
Du vent, de la pluie, les températures qui baissent, on se sent de mieux en mieux chez soi !
Passe une bonne fin de semaine Françoise
Bisous
bonjour chere Françoise, j ‘espère que ce probleme de vue, sera bien traité et solutionné ? le cerveau rien d’etonnant, nous sommes tous assaillis, par ce flot d’informations, de conseils et de diktats divers , comment ne pas perdre la tête, on nage en pleine folie ! beaucoup ne resistent pas, et font n’importe quoi, je te comprends, comment admettre une situation pareille, une dictature folle règne actuellement sur le monde ! et les dirigeants français ne sont pas en reste , sinon en pointe ! j’espère que ta santé va s’ameliorer, porte toi bien, ainsi que les tiens, moi ça va, je m’accroche ! amities et bises
Je viens pleurer avec vous car j’ai exactement le même ressenti !
Un passage rapide car ma connexion a encore coupé 2 fois, hier, alors j’en profite pendant que ça fonctionne !
Vraiment marre.
Je te souhaite une bonne fin de semaine en profitant des derniers jours de beau temps avant la période de froid annoncée.
Gros bisoux et … à je ne sais pas quand !
passe une bonne fin de semaine Françoise, malgré tout ce qu’il se passe
Bisous
ça ne s’ arrange pas en France, et il n’y a pas que la covid comme virus à éradiquer !
Tiens bon, je te souhaite une bonne fin de semaine
Bisous Françoise
bonjour chère Françoise, j’espère que tes yeux vont mieux, et que tu as trouvé un remède à ce probleme, les evenements récents t’ auraient certainement donné l’occasion de faire un bel article, solidarité avec les enseignants, et esperons que ce crime , aménera plus de compréhension et de soutien de la part de l’Education Nationale à tous les enseignants, et une Justice envers les criminels , amities et bises