La paresse amène souvent à ne pas articuler deux sons phonétiquement proches quand ils sont voisins dans une phrase, ainsi la locution Il y a, le pronom “il” est omis et l’on n’entend plus que la tournure incorrecte y a. Il faudrait se garder de céder à cette facilité en particulier à la forme négative puisque, dans ce cas, disparaît aussi l’adverbe de négation élidé n’. Continuer la lecture
Y a ou y a pas ?
2