Et si après Jupiter, c’était Néron au pouvoir ? L’incendie de Notre-Dame de Paris permet à Emmanuel Macron de gagner quelques heures pour peaufiner son discours. Le feu est sans doute accidentel, une erreur humaine d’un employé chargé de la rénovation mais… et si ce drame arrangeait bien Manu ? Et s’il était un peu pyromane ? Ça s’est déjà vu.
Le 19 juillet de l’an 64, sous le règne de l’empereur Néron, Rome est ravagée par un incendie. La ville compte alors près de huit-cent-mille habitants concentrés sur treize kilomètres carrés. L’espace urbain est occupé en grande partie par des temples, des monuments publics et des palais concentrés sur et autour de la colline du Palatin. Le peuple s’entasse dans des immeubles de cinq ou six étages appelés insulae, sans eau et sans sanitaires, qui accueillent les habitants les plus pauvres de la cité. Les incendies étaient fréquents mais restaient en général confinés à un quartier.
Le 19 juillet 64, c’est différent. Le feu a pris naissance dans une boutique située près du Circus Maximus, une zone où se trouvent tous les magasins avec leurs stocks, il se propage rapidement et va durer six jours et sept nuits ; il va détruire la plus grande partie de la ville : quatre-mille 4 000 insulae, faisant au passage des milliers de victimes : peut-être dix-mille morts (aucun chiffre précis n’est disponible) et deux-cent-mille sans-abri.
L’empereur, après avoir supervisé les secours, se hâte d’engager les travaux de reconstruction avec l’objectif d’embellir la ville… et de se doter d’un palais encore plus grandiose que le précédent. La rumeur le soupçonne d’avoir lui-même provoqué l’incendie (ce qui est peu probable, c’est sans doute un sinistre accidentel). Pour se défendre, il accuse les Chrétiens d’être responsables de ce désastre puisqu’il faut toujours trouver un coupable. .
Il semblerait qu’en réalité, quand l’empereur Néron apprend l’incendie, il n’est pas Rome mais il revient vite, participe activement à l’organisation des secours ; sitôt le sinistre maîtrisé, il se consacre à la reconstruction de la ville – supprimant les rues insalubres – et à celle de.son palais aux dimensions plus grandioses qu’avant. Ce splendide nouveau palais s’étend sur quatre-vingts hectares et émerveille tout le monde mais la rumeur publique insistante accuse Néron d’avoir lui-même incendié la ville pour la remodeler à sa guise. (On raconte même qu’il aurait contemplé l’incendie du haut de son palais en déclamant des vers à la mesure de l’événement).
Pour faire cesser les “médisances” et pour calmer le peuple, Néron accuse les chrétiens d’être à l’origine du désastre. Sur ordre de l’empereur, environ deux-cents chrétiens sont livrés aux bêtes dans les arènes et mis à mort. L’apôtre Pierre (notre Saint-Pierre), qui côtoya le Christ, est au nombre de ces premiers martyrs.
Ce soir, à Paris, on ne cherche pas de coupables, on parle d’un accident mais qui dira bientôt “c’est la faute des Gilets Jaunes” ? À moins que Benalla ne soit passé par là, soufflera peut-être un autre. Une punition divine pour nettoyer Gomorrhe ? Allez savoir.
Notre-Dame en flammes, c’était horrible à voir. Triste à pleurer. La faute à qui ? La faute à pas de chance ? Il semblerait qu’à l’automne dernier un reportage sur les pompiers de Paris montrait un entrainement en cas d’incendie à Notre-Dame. L’entrainement n’aurait-il servi à rien ?
En attendant, alors que la France tente de panser une plaie de plus, Monsieur Macron a gagné un jour avant de nous débiter son discours (sans doute inutile) et a profité de ce moment tragique pour lancer une nouvelle “cagnotte” (qui financera quoi exactement ?) Ne vous posez pas trop de questions, .
Donnez, donnez, donnez
Dieu vous le rendra.
Je pense que ce drame est lié à un banal incident involontaire … désastreux.
J’attends avec impatience les résultats de l’enquête … si un jour il peut y en avoir un !
“” Bon mardi, avec un temps gris mais doux.
Gris dans le coeur aussi avec l’incendie de ND de Paris …
Pour ceux qui n’ont pas compris :
J’utilise mon smartphone pour protéger mon dos et n’avoir pas à rester assise derrière l’ordi !
Bisous très tristes. “”