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- Impayable : adjectif dérivé de payer avec le préfixe im- (variante de in- devant les consonnes bilabiales b, m, p) et le suffixe -able. qui signifie soit :
- Qui ne peut être payé (un remboursement impayable, faute de moyens suffisants)
- Qui ne peut se payer. (exemple : rendre un service impayable, c’est faire quelque chose d’extraordinaire, d’irremplaçable, que l’on n’espérait pas)
- (Figuré) Qui est extraordinaire, bizarre, très drôle en général.. D’une bizarrerie extraordinaire ou très comique, par exemple “une aventure impayable”.
Pourquoi l’adjectif m’est-il venu à l’esprit aujourd’hui ?
Parce qu’il vaut mieux rire de quelque chose que d’en pleurer et qu’en ce moment les raisons de rire, de pleurer ou de se battre sont de plus en plus nombreuses et que finalement il ne se passe rien comme si nous étions tous passifs, résignés.
Que penser et que faire quand il s’agit :
- des impôts prélevés à la source en janvier prochain (à la va-vite) et que l’on entend déjà les exceptions qui sont accordées par exemple “pour les employés des particuliers, le prélèvement de l’impôt à la source sera reporté à 2020.”, des erreurs qui commencent déjà à apparaître (surplus de travail aux impôts, il faut embaucher, dixit un employé d Trésor Public), des contrôles que vous devez faire, des demandes de remboursement qu’il vous faudra rédiger et dont vous devrez attendre une réponse (longue et hypothétique)
- de la limitation à 80 km/h qui ne limite pas le nombre d’accidents mais augmente les recettes de l’État
- de la taxation des piscines hors sol de plus de10m2, installées pour plus de 3 mois,
- de la taxe sur des cabanes de jardin, variable selon les communes (soyez heureux, la ou les niches des chiens à l’instar de niches fiscales, ne sont pas taxables
- du coût de notre Président et de sa femme (la première dame, statut officiel inexistant en France, non ?) : piscine à Brégançon, vélo, maquilleuse, coiffeuse, secrétariat, gardes du corps…
- passe-droits accordés à certains : agriculteurs pollueurs désherbant à tout-va, grillant les mauvaises herbes dans leurs champs mais dans les jardins proches, tuant les abeilles du voisinage, les mêmes qui “empuentissent” ensuite l’atmosphère avec des dépôts sauvages de boues, pas du fumier mais des boues de stations d’épuration et contre lesquels personne ne réagit : ni les gendarmes, ni les mairies, ni même l’ADEME qui vous répond que ça dépend des mairies. Comment peut-on vivre et respirer sainement, tranquillement ?
Choisir de vivre à la campagne, c’est accepter les machines agricoles qui travaillent tard les soirs d’été, entendre les moutons, les ânes, les dindons, les paons, les vaches, les chevaux, les crapauds dans les mares, les cloches de l’église, supporter les visites de mouches, d’abeilles et d’autres insectes mais ce n’est pas être contraint de vivre fenêtres et portes closes en plein été (chaud) pour limiter les mauvaises odeurs chez soi et arriver à respirer sans vomir. Que faire pour se défendre dans pareil cas puisque visiblement la loi n’est pas appliquée à tout le monde ?
Pour terminer en souriant, une pensée de Pierre Dac (expérience personnelle ?):
“Quand on dit d’un artiste comique de grand talent qu’il n’a pas de prix, ce n’est pas une raison pour ne pas le payer sous le fallacieux prétexte qu’il est impayable.“
Bonjour, ma françoise
Hé bien moi, j’adore les odeurs et les bruits de ma campagne !
Parce qu’en ville il n’y a pas de bruit ni d’odeurs ???
Quand je suis dans une ville, j’ai l’impression d’étouffer avec les relents des véhicules et leur brouhaha constant !!!
Au moins, à la campagne, on a des arbres et de la verdure …
Et ça, c’est impayable.
Tout comme le plaisir de cultiver mes propres légumes et fruits.
Celui de pouvoir sortir de chez moi dans la tenue (ou sans) qui me plait, sans voisins pour mater !
On pourrait me donner n’importe quoi que je n’irais pas vivre en ville.
Je ne crains pas les agressions quand je vais me promener, si ce n’est celle d’un chien sorti de chez lui, mais qui vient juste me dire bonjour si je lui parle avec douceur …
En plus, il n’a pas d’armes, lui !
Impayable aussi de pouvoir se garer n’importe où : pas de gendarme en vue : ils sont peut-être au bistrot en train de boire un coup et papoter tranquillement.
Pas de feux tricolores à respecter, ni de limitation de vitesse, on ne fait pas la course !
Impayable de faire mes courses dans les fermes voisines chez des cultivateurs pas commerçants mais qui acceptent de vendre leurs produits aux voisins ou pour les dépanner.
L’huile de noix qui sort du pressoir, sans conservateur, t’as goûté ???
Tout comme la salade du midi qui passe du jardin à la table, ça aussi, c’est impayable !
Bon, j’arrête car je peux y passer la matinée et qu’on ne me parle plus des mauvais côtés de la campagne, sinon je ne réponds plus de rien. Mdrrr
Bonne fin de semaine, avec un temps qui se dégrade … et moi aussi !
En plus de ma thyroïde, une saloperie de sciatique est venue s’ajouter à mes problèmes.
Bisoux découragés.
PS : désolée de toujours me plaindre, je sais que certains en ont marre … 🙄
Je dirais que la patience des français confine au masochisme, parce que quand même, question taxes et impôts, Sarkosy n’ y était pas allé de main morte, tout comme hollande, mais le pompon c’ est macron, et on n’ a pas encore tout vu !
4 ans encore avant de nouvelles présidentielles, alors, il en profite, et nous fera quelqu’ aumône en fin de mandat pour être réélu !
Reste les européennes en 2019, avec tout à revoir, et les municipales en 2020, où il faudrait que pas un en marche ne passe !
Bonne journée Françoise
Bisous
Bien d’accord avec pierre !!!
Bon week end.
Merci à tous pour vos gentils mots d’encouragement.
Je sais que je peux toujours compter sur vous et votre amitié est vraiment un des médocs qui me fait le plus de bien.
C’est sincère et ce ne sont pas des mots “en l’air”.
Bisoux, ma françoise