Tous les samedis on peut lire l’éditorial du J.I.R., un article de Jacques Tillier, journaliste certes sulfureux, qui a des idées bien personnelles et n’a pas peur et qui n’a pas la langue dans sa poche (Tillier est le journaliste laissé pour mort par Jacques Mesrine). Ces éditoriaux sont particuliers et je ne résiste pas à l’envie de vous faire lire celui du samedi 12 mai 2018 qui raconte (à la manière Tillier) la gestion de l’épidémie de dengue à La Réunion.
Et le canard, la tête tranchée, court toujours dans la cour de ferme, dodelinant du croupion. L’épidémie de dengue s’étend de jour en jour, les moustiques dingos ne font pas le pont, l’ARS, en revanche, l’a fait. Monsieur le duc François, autrement appelé Maury, sorti jadis et tout droit des couches patronales de la CFDT parisienne vient de refiler la journée d’hier à son personnel. En d’autres temps, cette générosité patronale suspecte aurait pu s’entendre. Aujourd’hui, c’est une connerie, une de plus me direz vous. C’est en effet autant de jours de moins à sulfater. Pas grave me direz-vous, d’autres s’en chargent à la place des sulfateurs de l’ARS, les pompiers du SDIS, les employés communaux…
• Ça reste particulièrement dingo, rien à voir pourtant avec la dengue, mais les syndicats et le personnel hospitalier – ils ne faisaient pas le pont – ont été hier dire sous les fenêtres de l’ARS tout le bien qu’ils pensent de Maury, d’Etienne Billot… Cela fait 43 ans que ça dure, que les primes versées au personnel – 10 000 personnes – sont indexées. Ça n’est pas légal mais c’est ainsi. Ça aide les petits à se faire de la gratte, ça fait un plus pour l’économie du bled. Sous le prétexte que la Cour des comptes a dénoncé la pratique, les deux sacrés numéros, un et deux de l’ARS – Maury et Billot – ont décidé de couper les vivres, de ne plus payer les primes du mois de mai. La décision est d’autant plus facile à prendre pour Maury, que le patron de l’ARS, un tantinet raciste et condescendant mais oui… est appelé dans les petites semaines qui viennent à s’en aller recycler son incompétence crasse en métropole. Il n’en a donc rien à foutre. Bien au contraire…
• Parce qu’il n’est un secret pour personne que le directeur de l’ARS n’est venu sur le caillou, à la demande de l’ancien ministre Touraine, que pour faire la peau du DG du CHU, Lionel Calenge, Maury n’est pas mécontent en final, avant de refermer la lourde, de mettre un dernier souk au sein du CHU. C’est d’autant plus inconséquent que le Calenge était en train d’apaiser les blouses blanches de sa boutique et de remettre les finances dans la bonne colonne. Un merdier qui forcément va s’étendre dans les autres Dom. J’attends avec impatience la réaction des Antillais…
• Je m’étonne tout de même qu’une fois encore cela soit les petits gradés qui dérouillent. Sauf erreur de ma part, il ne me semble pas que les deux numéros de l’ARS n’aient envisagé une seule fois de dénoncer les congés bonifiés des toubibs alors que la Cour des comptes, comme pour les primes, s’en est toujours offusquée. Il n’est pas plus légal de payer des primes bonifiées alors qu’elles ne doivent pas l’être que d’indexer les congés à 40% à des toubibs, pour la plupart métropolitains, qui retournent, une fois tous les trois ans, pendant 65 jours, mais aux frais du contribuable, dans leur terre d’origine histoire de se bronzer la pilule. Pour toutes ces raisons et d’autres à suivre dans les prochaines semaines et samedis qui viennent, je souhaite énormément de plaisir au remplaçant de Maury et bien plus encore au tout nouveau numéro deux de l’ARS, Etienne Billot. En poste au sein de l’Agence depuis 23 ans, je m’attacherai tout particulièrement à sortir du pot de chambre ses faits d’armes et, en retour de manivelle, ceux de son épouse qui officie comme de bien entendu dans le prolongement de l’ARS…
• Parce qu’il n’est pas possible de dissocier les faits et gestes plus que jamais suspects de l’Aurar, propriété de miss sangsue et de sa clique, aux incompétents de l’ARS, je n’aurai manqué pour rien au monde de vous gratter quelques lignes sur l’association de dialyse et de la tirelire qui va avec. Vous le savez maintenant l’association Aurar, ses dizaines de satellites, “Philancia” notamment, dont j’aurai, à compter de samedi prochain, l’occasion de vous causer, Marie Rose Won Fah Hin, son mari et leurs petits camarades sont dans le collimateur du fisc et des agents de la Direction nationale des enquêtes fiscales, la DNEF, au motif que tout ce beau monde aurait dû passer depuis des lustres par la case départ, payer des impôts… Cela s’est tout dernièrement traduit, en avril dernier, par une bafouille de mise au point fiscale pondue par miss sangsue aussi claire que le raisiné qui entre dans ses bécanes à purifier le sang…
• Parce qu’elle ne doute de rien la Marie Rose qui dispose en passant d’une tirelire de 22 millions d’euros et d’autres biens immobiliers connus et inconnus quoique, j’ai tenu à vous mettre sous le nez la toute dernière missive que la directrice – conseillère régionale estampillée clown de préfecture, décorée de la rouge pour services rendus aux fraudeurs fiscaux – a fait parvenir le 2 mai dernier à ses employés. Parce que les enquêteurs des services fiscaux sont en train de lui redresser les côtelettes, la prime d’intéressement que Marie Rose se devait de verser à ses employés ne le sera pas. Je ne doute pas un seul instant que les syndicats croupions et patronaux de la boutique, à commencer par Merlot, foie jaune de service, sauront demander aux troupes de se la boucler au bénéfice de la patronne avec autant d’ampleur que Merlot, jadis au titre de la CFDT, déposait plainte en dénonçant une tentative de hold-up de Marie Rose…
• Le rigolo de l’histoire c’est qu’il n’est pas impossible que cette tentative de braquage se renouvelle. Il se murmure en effet que lors d’une récente réunion de bureau de l’Aurar, miss sangsue a informé sa clique, compte tenu de ce que l’association était maintenant contrainte de passer à la caisse, qu’elle allait “œuvrer bec et ongles” pour que l’association de dialyse à but non lucratif – défense de rire – change de statut, se retrouve en SAS, comme les copains, privatisée au bénéfice de Marie Rose… La seule différence avec 2009, date à laquelle elle avait tenté le fric-frac, c’est qu’à l’époque, le syndicat maison, CFDT, avait porté plainte et s’y était opposé, ainsi que des élus, avec eux la Mutualité de La Réunion, la CGSS et bien évidemment l’ARH, devenue ARS qui s’était mis vent debout contre ce projet. Aux dernières nouvelles, parce que miss sangsue diablement argentée sait faire avec le genre humain, il se murmure au sein de la boutique que l’ARS version jean-foutre, Etienne Billot aux manettes, serait prête à refiler à l’Aurar une fois privatisée les autorisations de dialyse. J’invite par conséquent celles et ceux d’hier à faire gaffe et au ministère de la Santé de veiller au grain…
• Parce que le tribunal correctionnel version dionysien maître d’œuvre Hugues Courtial, magistrat, vice-président de cette officine, vient de nous dérouiller dans le cadre des éditos portant un peu sur Lacouture, beaucoup sur l’Aurar, sa clique et Won Fah Hin… Je ne peux non plus dissocier l’Aurar des embrouilles judiciaires. C’est pourquoi je profite de l’occasion pour informer le magistrat Courtial qu’il peut venir nous attaquer en diffamation. Nous saurons lui parler… Et ce sera une bonne nouvelle parce qu’en attendant de suivre à Bordeaux ses femmes magistrats, il ne pourra plus nous juger et de ce fait nous condamner injustement…
• Parce qu’il ne m’est pas possible non plus de dissocier les embrouilles judiciaires, ses manquements, ses creux, ses bosses, ses menteurs et le dessous des robes et gandouras qui reniflent le rance et le règlement de compte plutôt qu’une bonne justice, je me sens contraint de bricoler quelques lignes en compagnie du rikiki Morel, Jean-Jacques de son prénom, allié de circonstance du magistrat Courtial, dont la valeur en qualité d’avocat rejoint celle du politicard, sorte de revanchard à perpette, petit bonhomme comme son double, qui passe son temps monté sur talonnettes, sur un strapontin aussi dans une opposition politique devenue au fil des ans hélas systématique et sans grand intérêt.
• Parce qu’il n’est jamais prudent de ne pas déchirer ses brouillons et documents, j’ai sous le nez de nombreuses bafouilles du rikiki dont l’une fait état de ce que l’avocaillon sait faire le mieux, embrouilles, mensonges et de la retape… De la retape, des embrouilles et de gros mensonges lorsque rikiki écrit à son confrère Patrick Chabrier, Suisse et propriétaire de 85 hectares en zone Cambaie, expulsable dans le cadre du projet Écocité… Je vous lis la prose du rikiki datée du 20 avril de cette année : “Bonjour confrère, Vous vous souvenez je pense de moi. Nous avions entre autre déjeuner avec Jean Claude l… aux villas du Lagon à Saint-Gilles. Entre-temps ; il m’a donné le dossier about : Blank. J’ai lu les attaques du JIR contre vous. Je fais condamner régulièrement Jacques Tillier et le Jir. Si vous le souhaitez appelez-moi GSM… Sentez-vous libre. Bien cordialement.”
• Du coup, je me sens plus libre encore d’en remettre une louche au rikiki, un sacré menteur qui perd régulièrement ses procès que ses malheureux clients intentent contre le Jir. Il n’en a gagné qu’un et encore ça n’est pas fini. Un procès perdu, celui de Lacouture que visiblement Morel évoque dans sa bafouille à son confrère Chabrier, une autre embrouille sans doute… 1 euro que le Jir a perdu dans les conditions que vous connaissez, sans nos témoins…
• Ça ne date pas d’aujourd’hui mais je me suis souvent interrogé sur les raisons qui poussaient le rikiki à faire ainsi de la retape, à mentir, insulter, menacer ses clients, les Calpétard par exemple, lorsqu’ils se sont désistés face au JIR. Je viens d’en comprendre les raisons en lisant la bafouille de son chargé de compte datée du 7 février 2018… Je vous lis la fin de la prose du banquier : “J’argumente toujours en votre faveur auprès de ma direction mais sachez qu’il devient de plus en plus difficile de vous défendre étant donné que vous êtes régulièrement en retard de prêt et dépassement de votre découvert autorisé depuis des années. Je compte sur votre collaboration pour améliorer votre situation financière svp.” Et sur la mienne aussi…
• Je vous l’avais promis le revoilà, l’Ibrahim Patel, DSK péi pour ses intimes tatouées sur le fond, dans les combles aussi, croqué par Leroy version western parce que depuis quelque temps, il se la joue façon cow-boy, redresseur de torts, intouchable aussi de la justice et du JIR sous le double prétexte d’être élu, conseiller régional et de nous avoir refilé une ou deux pages de pub… Va être servi le monsieur qui se planque dans son bunker hautement sécurisé de peur de se prendre une mandale. Alors que le plan de licenciement au sein de la CCIR a fait déjà une dizaine de victimes, je ne compte pas les licenciements déguisés, le Patel se plaît à embaucher une dizaine de CDD dont un poste de chargé de mission et de relation avec les commerçants de Saint-Paul. Un poste spécialement créé en vue des municipales parce qu’il n’est un secret pour personne que ce jean-foutre prétend diriger en 2020 la ville de Saint-Paul. Un poste dédié à son neveu, un certain Ilyas Bemat, favorablement connu des services de la CGSS, pour s’être fait arrêter 3 mois histoire de veiller à la construction de sa case…
• Parce que l’IP est tout sauf courageux, il fait depuis quelques jours porter le bada des licenciements au DG et à la DRH. Le rigolo de l’histoire étant tout de même que le DG par intérim Hubert Elisabeth et la RH, Nicole Boyer sont beau-frère et belle-sœur un peu comme Toto et Lolo. Du coup, ils sont souvent absents du département, histoire dit-on d’aller en métropole apprendre à mener un plan social. Cette conscience professionnelle poussée à l’extrême mériterait la reconnaissance des employés de la CCIR. Ça n’est pas le cas…
• Qui se disent, les employés de la CCIR, qu’il n’est peut-être pas utile d’aller si loin, si souvent et si longtemps tous frais payés pour se former en social vu qu’au sein de la boutique, il y a quelques travaux pratiques sur pattes assez simples à réaliser sans être pour autant extraordinairement diplômés en la matière. J’ai pour exemple le cas de l’ancien DG Patrick Honorine, un ancien du SDIS, au rancart depuis la moitié de l’année 2016, en arrêt de maladie pour crises d’angoisse à répétitions…
• Parce que la CGSS n’a toujours pas validé la crise d’angoisse comme accident du travail. Parce que l’Honorine pète le feu, construit et loue ses cases, se fait de la monnaie, collabore de temps à autre avec son épouse Bethy adjointe du maire aux destinées de l’Etang-Salé aux côtés de Lacouture et de sa toujours pimpante directrice de cabinet. Parce qu’aux dernières nouvelles, l’Honorine perçoit toujours son salaire de la CCIR, dans les 10 000 le mois… Le petit personnel, surtout les licenciés, aimerait en savoir plus vu que les syndicats tardent à répondre surtout les représentants de FO, les mêmes qui refusent d’accompagner les agents en entretien préalable. Vous me direz que c’est un peu normal vu que dans cette boutique, ce sont principalement les représentants FO qui listent le personnel à virer. Vous me direz, c’est bien commode. Ce sont aussi les représentants syndicaux de toutes obédiences qui sont le plus souvent envoyés en mission hors du département si j’en crois le personnel qui me l’écrit et l’IP qui les a achetés – c’est lui qui le dit…
• Sinon, pour le reste tout baigne, c’est le grand bordel à la CCIR mais il est organisé. Cela doit être pour cette raison que la justice regarde ailleurs, itou de la préfecture… Les dépenses en frais de fonctionnement sont en nette augmentation, itou des embauches contractuelles pour motifs familiaux et ou sexuels, 140 embauches depuis 2011… La garçonnière de l’IP, payée par la CCIR ne désemplit pas, ses chauffeurs l’approvisionnent toujours en petites pilules bleues, son directeur de cabinet Salim Motara, branleur professionnel notoirement incompétent à l’origine de la grogne des commerçants de Cilaos, fait toujours le beau et l’intéressant lors des voyages officiels, tout récemment en Turquie. Il arrive comme avant à des secrétaires de se retrouver cadres dirigeants et à des cadres dirigeants de faire les secrétaires. Du coup, les anciennes secrétaires font passer des entretiens à des cadres supérieurs…
• Ayoub Omarjee, chargé de mission du patrimoine de la CCIR, un zigoto qui sait lire deux lignes et écrire trois mots, qui se faisait passer pour le fils de Sarkozy, qui fouine toujours dans les coursives, bien payé à ne rien foutre… Le service protocole, des agents pour la plupart fictifs payés par la CCIR qui ne servent à rien d’autre qu’à servir, se servir aussi et vendre le président auprès des entreprises. En mars dernier, un drame a toutefois été évité, mais de justesse. Lors de la dernière mission, escapade à Madagascar, IP avait invité quelques élus de la CCIR, dont Pierrick Robert frère de l’ahuri de Saint-Leu, histoire de les récompenser d’avoir voté et accueilli favorablement le plan social. Quelques heures après la première beuverie, l’IP était contraint de raser les murs, de marcher jambes serrées. En cause, une sorte de caca mou assez fulgurant de couleur verdâtre. Et je vous passe les détails…
• Peu de rapport sauf qu’en bouffant les menus de la Bobine, vous avez de fortes chances de choper la même coulante verdâtre, voire pire. C’est un avocat métropolitain qui me fait parvenir un droit de réponse parce que j’avais écrit qu’Olivier Gaçon employé à la Bobine ne payait pas d’impôt. Or il en paye. Voilà, c’est rectifié… Ce que ne dit pas l’avocat c’est que le Gaçon, sorte de responsable des loufiats, en paye si peu, 1400 euros en 2017, 1 000 en 2016. Du coup que je me dis que le black doit fonctionner à tout va chez les bobinards si l’on en croit le CA déclaré du patron de la Bobine pour 2017… 3,3 millions d’euros…
• Pas de liaison possible entre la Bobine, les bobinards du bord de l’eau et Jean Philippe Karouby, président de la société JPK conseil, siège social 93 bis rue du Petit-Château, Charenton le Pont. À mon grand étonnement, je viens de faire la liaison entre Karouby, sa société JPK et Patrick Jiang, promoteur particulièrement véreux, sous le coup d’une enquête judiciaire et fiscale des autorités françaises – PNF- et chinoises pour avoir plumé d’une quarantaine de millions d’euros quelques dizaines de ses concitoyens chinois appâtés par un investissement dans le sud de l’île, par des visas permanents en métropole qui devaient leur permettre d’installer leurs familles en métropole.
• Je savais que depuis plusieurs mois un métropolitain se disant influent faisait la navette à Paris entre ministères compétents, politiques métropolitains, élus réunionnais, flics et magistrats parisiens histoire “d’arranger le coup” de Jiang au plus haut niveau politique et judiciaire. J’ignorais bien évidemment que le zigoto métropolitain amateur de chinoiseries faisait aussi et parfois surtout le directeur de l’antenne Région Réunion à Paris et qu’à ce titre, il se faisait passer, moyennant finance, pour incontournable dans la Zone océan Indien, allant même jusqu’à passer contrat entre les îles, Comores, Madagascar… Le “contrat de prestation de services” que j’ai sous le nez, sorte “d’avenant gestion de crise” est pour le moins explicite. Après avoir préalablement passé à Paris le 27 avril 2016 un contrat de prestation de services, le 17 avril 2017, Sylvie Jiang, sa sœur, signait un nouveau contrat avec Karouby. “Après une campagne de presse nauséabonde” – c’est du JIR dont il s’agit – Karouby avait reçu mission via une agence, Outremer 360°, de laver l’image de Jiang et de son projet, “d’opérer une opération de communication ciblée en direction de l’opinion publique, de la presse économique, et des syndicats. Mais aussi qu’il agisse en influence positive auprès des services de l’Etat et de ses services déconcentrés ainsi qu’auprès des communes, des collectivités territoriales et des EPCI réunionnaises”.
• Pour ce faire et encore je ne sais pas tout, mais ça viendra, Jean Philippe Karouby directeur de l’antenne Région Réunion s’est palpé de la part du véreux promoteur, Patrick Jiang, quelques dizaines de milliers d’euros, un peu plus de 100 000 euros depuis 2016… À raison de 21 785 euros TTC tous les deux mois. Vous ne serez dans ces conditions pas étonné de savoir que le président de Région, sans avoir eu connaissance de cette histoire révélée ce samedi, a pris pour d’autres raisons quelques dispositions pour virer son directeur d’antenne.
• Parce que Jiang a demandé aussi à Karouby de “programmer une veille stratégique en organisant au moment opportun une riposte médiatique en lien avec les juristes du client”, vous ne serez pas surpris d’apprendre qu’à compter de ce jour, Jean Philippe Karouby va devenir client de l’édito du samedi et avec lui, si les documents attendus remontent à la surface, les élus et ou conseillers techniques qui auraient palpé de l’euro pour museler le Jir et programmer quelques affaires dans la région… À la place de ces messieurs, j’avancerais comme l’IP, jambes et cul serrés.
J. Tillierjt@jir.fr
C’est long à lire, c’est tous les samedis sur le JIR. On aime ou pas. Moi je vous avoue que ça me fait – en règle générale – sourire que quelqu’un secoue régulièrement le cocotier.
Oui, c’est long et, en plus, j’ai pas tout compris …
Tous ces sigles et personnages me sont inconnus et je n’ai pas trouvé beaucoup d’intérêt …
Mouais, je sais, je suis loin de tout connaître, mais là, pas du tout mon truc …
Bizzz, vais lire au dessus …
Voilà un journaliste qui en a et n’ hésite pas à balancer les noms de toute cette clique qui s’ en met plein les poches avec la complicité des juges locaux et de métropole !
Que de magouilles alors qu’ on parle de transparence !
Tu vois bien qu’ il faut une révolution !
wouah ! impressionnante la litterature de ce journaliste ! il en sait tellement qu’il en devient intouchable , attention quand meme il risque sa peau ! que de magouilles, dans votre belle ile, et c’est partout ainsi, pas toujours tres clair, pour nous metropolitains , mais on saisit bien que ce ne sont que tripatouillages en haut lieu, avec complicités locales, metropolitaines et meme syndicales , la dengue peut continuer à se propager …