Le premier des Google Doodles fut dessiné en 1998 pour le festival Burning Man : les fondateurs de Google voulaient signaler leur présence à ce festival en intégrant une silhouette en flammes dans le logo de l’époque. La tradition a continué jusqu’à aujourd’hui, avec plus de mille logos réalisés.
Un Doodle apparaît généralement une seule journée mais il est visible dans un grand nombre de pays et quelquefois dans un pays en particulier.
Aux États-Unis, Google a été critiqué par les Conservateurs pour son choix jugé insuffisamment patriotique dans les événements célébrés. On lui reproche, par exemple, d’avoir célébré, le le cinquantième anniversaire du lancement de Spoutnik par l’Union soviétique, ennemi des États-Unis à cette époque de la guerre froide, ainsi que diverses dates jugées insignifiantes mais de n’avoir rien fait pour le Memorial Day ou le Veterans’ Day.
J’arrive enfin au doodle du jour créé pour célébrer Abraham Ortelius, inventeur du premier atlas, il y a quatre-cent-quarante-huit (448) ans, regroupant des cartes représentées sous un même format.
Abraham Ortelius est né le 14 avril 1527 à Anvers, en Belgique ; il est décédé dans la même ville le 28 juin 1598. Il aurait été l’un des premiers à émettre l’hypothèse de la dérive des continents. Ce fut un enfant surdoué, polyglotte, il parlait néerlandais, grec, latin, italien, français, espagnol et avait des bases en allemand et en anglais.
Le premier atlas, inventé par Abraham Ortelius, a été imprimé en 1570 et s’intitulait Theatrum Orbis Terrarum : le théâtre du monde. Cinquante-trois (53) cartes composaient l’ouvrage, la plus célèbre, celle du monde : « Typus Orbis Terrarum ». Si elle comporte des inexactitudes, son impact a été gigantesque car, pour la première fois, celle-ci représentait le globe avec les dernières données sur la taille et la forme des continents. Par endroits, elle était aussi ornée de monstres marins. À cette époque, les cartes décorées d’animaux fantastiques se vendaient beaucoup mieux que les autres… L’extraordinaire fait vendre depuis longtemps.
Plus d’animaux fantastiques mais des bergères (des roturières) qui épousent des princes, ça marche bien. Combien de gens devant le poste de télévision à travers le mode ? Moi je n’y étais pas, juste un coup d’oeil à la robe sobre de très bon goût et blanche.
il me semble que c’ était toi qui un jour avait cliqué et découvert cette proposition de Google !
Une chose est sure, nous devons notre présent et avenir à ceux qui ont fait le passé, et sans lesquels nous ne nous serions pas modernisés