Encore plus que Loco, loco, la “Ballade pour un fou“, j’ai adoré jadis “Le cœur volcan“, et toujours ce fameux bandonéon d’Astor Piazzolla. J’ai surtout aimé les paroles d’Étienne Roda-Gil. Comment dire que l’amour fait mal quand on a seize ans, qu’on est loin de l’objet de sa flamme ? Alors, on se trouve une chanson et on fredonne toute seule, éperdue d’amour : “J´ai la raison arraisonnée/Dans un port désert dérisoire/Toute ma vie s´est arrêtée…” Continuer la lecture
Le cœur volcan
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