Il y a sept ans aujourd’hui est arrivé Raphaël, mon petit-fils, le seul et unique car depuis il a eu une petite sœur et deux cousines. Bon anniversaire !
Comme il a changé, mon bonhomme. Il est entré en CE1.
J’ai l’impression que c’était hier… et maintenant il a atteint l’âge de raison.
L’âge de raison, ce moment de la vie auquel le jeune enfant acquiert la conscience morale de soi. Il comprend les notions de bien et de mal, de justice ainsi que les conséquences de ses actes.
L’âge de raison a été évoqué pour la première fois par le concile de Latran IV en 1215 ; c’est à cet âge que l’enfant devait commencer à se prêter à la confession et à la communion. C’était du temps où la religion catholique menait le monde occidental civilisé.
Aujourd’hui, d’une manière générale, on a délaissé toute cette éducation religieuse. Dommage ? Peut-être. Sans doute. Dommage ! Les règles de morale et de bonne conduite ont été oubliées.
Je me souviens d’une groupe musical québécois “Beau Dommage” et de ce titre que j’aimais beaucoup non pour ses paroles mais plutôt pour sa mélodie : “Harmonie du soir à Chateauguay”.
Des souvenirs pour vous ?
Il y avait un autre titre connu “la complainte du phoque en Alaska“.
On peut dire que le modernisme vieillit nos enfants, qui ne sont plus ceux que nous avons été, et quelque part, ce n’ est pas bien de toucher à l’ enfance comme à l’ adolescence, d’ autant que comme tu dis, la morale a été abandonnée sous prétexte de liberté, et on constate que ça crée de nouvelles contraintes !
Devant un enseignement qui tend à vouloir remplacer l’ éducation parentale, il devient d’ autant plus indispensable que les parents tiennent leur rôle