« Que répondre à un homme qui vous dit qu’il aime mieux obéir à Dieu qu’aux hommes et qui, en conséquence, est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? »
Voltaire, Dictionnaire philosophique, article « Fanatisme ».
Mon dictionnaire que vous pouvez consulter sur internet :
A.− Vx. Comportement, état d’esprit de celui qui se croit inspiré par la Divinité. Fanatisme d’illuminé (Rob.).
B.− P. ext. dans la lang. mod., souvent péj. Comportement, état d’esprit d’une personne ou d’un groupe de personnes qui manifestent pour une doctrine ou pour une cause un attachement passionné et un zèle outré conduisant à l’intolérance et souvent à la violence.
Les mots qui effraient : intolérance et violence.
Questions diverses :
- Pourquoi ceux qui se plaignent le plus de l’intolérance sont-ils aussi souvent les plus violents ?”
- Pourquoi les chrétiens, à qui il est demandé d’aimer, de bénir et de faire du bien à ceux qui les haïssent, de tendre l’autre joue quand ils prennent une baffe, pourquoi les chrétiens ont-ils maudit et persécuté juifs et infidèles en tous genres ? C’était avant.. Quand ils n’étaient pas aussi civilisés qu’aujourd’hui…
- Pourquoi sommes-nous surpris par le terrorisme et la violence ? Ne devait-on pas s’attendre à pire de la part des musulmans qui, tout en partageant la même propension humaine à la violence, reçoivent en plus de la part de la divinité l’ordre d’attaquer, de piller et de tuer les infidèles ?
Certes, tout est problème de modération. C’est le fanatisme qui nuit. On ne peut pas discuter avec un fanatique. Alors que faire ?
Voltaire se posait la bonne question : « Que répondre à un homme qui vous dit qu’il aime mieux obéir à Dieu qu’aux hommes et qui, en conséquence, est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? »
Que répondre ? Comment répondre ? Que faire ?
j’ ai trouvé une note stipulant que Marco Polo aurait dit ; il y a 700 ans que le musulman militant était celui qui coupait les têtes, et le musulman modéré, celui qui tenait les pieds !
IL me semble que tout discours mettant Dieu en avant et hors des lieux de prière, doit faire l’ objet d’ un renvoi de l’ individu dans sa terre d’ origine