Un monde fou ! C’est vrai que nous sommes de plus en plus nombreux sur cette planète Terre et que les humains semblent de plus en plus dérangés, décidés à s’entretuer de tas de manières différentes. Hier à Paris, de la folie et de la mort, à petite échelle finalement, car il n’y a eu qu’un centaine de personnes tuées dans des attaques terroristes.
Quand on regarde le monde, du côté de la Syrie, le régime de Bachar al-Assad aurait fait plus de 55 000 morts dans ce pays entre 2011 et 2013. J’oublie volontairement Hitler, Staline et quelques autres qui tuèrent à grande échelle.
Aujourd’hui, c’est différent, la violence a essaimé, du fait de la folie des hommes et du dévoiement d’un certain nombre de religions. Violence, sottise, folie… Quel tiercé !
Pour sourire à travers nos éventuelles larmes, pensons aussi que la folie a donné naissance à des histoires drôles (pour dimanche) et à de nombreuses expressions populaires ; je vous rappelle mon billet “travailler du chapeau” avec le “yoyoter de la touffe” cher à Bernard Pivot et j’ajoute :
- battre la breloque ;
- grésiller du carafon ;
- avoir des papillons sous l’abat-jour.
Je reviendrai sur ces expressions mais reconnaissez qu’elles sont peut-être peu claires mais qu’elles sont bien plus jolies que le “être schtarbé” ou “être complètement jeté” des périodes plus récentes. Dommage qu’elles soient de plus en plus oubliées ces expressions d’antan !
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Je constate que de par le monde, même en Chine, c’ est au nom d’ un islam conquérant qu’ on tue les soit disant mécréants !
Je pense que les ” califes ” ne recherchent que le pouvoir, tandis que les terroristes ne sont au final que de petites frappes recrutées dans les prisons !
Il me semble que le reste du monde ne réagit pas à la hauteur !
Passe un bon dimanche Françoise
Bisous
Il est vrai que les tueries de Paris sont peu de choses à l’échelle de ce qui se passe ou s’est passé dans le monde. Mais voilà, le ressenti n’est pas le même quand cela se passe près de chez soi. La vue de bateaux de réfugiés chavirant n’a pas le même impact.
Comme le soulignait Coluche, le mot “aimer” est absent du vocabulaire du Coran.