Pour rappel, stationner sur un trottoir ou sur un emplacement réservé est désormais passible d’une contravention de classe 4, soit 135 euros d’amende. Autant que le stationnement non justifié sur une place réservée aux personnes handicapées.
Auparavant, l’usager surpris en flagrant délit de gêne était quitte pour une “prune” de 35 euros. Fini la tolérance là aussi. Le ministère de l’Intérieur vient d’inclure dans les textes la mention de stationnement « très gênant » pour les véhicules qui entravent la circulation des piétons, des cyclistes ou ceux qui empiètent, même momentanément, sur les emplacements réservés aux transports de fonds, livraisons de marchandises, etc.
Faites ce que je dis, pas ce que je fais.
La voiture de Jean-Vincent Placé a-t-elle eu sa “prune” pour ce stationnement plus que gênant ?
et les places handicapées pour les handicapés pas pour les maires pressés d’aller acheter le pain le dimanche matin (Jean-Pierre Pin, maire de Roquefort, Lot-et-Garonne)
Au fait, et la police ? Se verbalisent-ils eux-mêmes ? Et le plus important : qui paie ? Eux (l’individu policier) ou nous ?
Quand on est handicapé, pour se défendre, on pourrait utiliser cet autocollant (pas facile à coller sur un pare-brise quand on est en fauteuil roulant (mais on a des copains) :
Savez-vous pourtant que c’est illégal de gêner la vue d’un conducteur et que celui qui poserait un tel autocollant risque d’être plus puni que le chauffeur mal garé ?
Je me suis souvent dit, par exemple au parking d’ Auchan, qu’ il y avait beaucoup de places réservées aux handicapés, mais que je n’ en voyais pratiquement jamais !
Facile d’ augmenter les procès, facile de créer une amende pour un mégot jeté, moins facile de faire disparaitre les déchets variés à Paris par exemple !
L’ exemple serait peut être la première solution à adopter !
Bonne journée Françoise
Bisous