“Dans Le Barbier de Séville, Beaumarchais fait dire à Figaro : « Je me presse de rire de tout avant d’être obligé d’en pleurer ». Rions, nous aussi car bientôt nous n’aurons plus assez d’argent pour payer les mouchoirs qui devraient assécher les larmes causées par la politique de nos dirigeants. Je viens de recevoir une demande de paiement de prime d’assurance : augmentation de cinq euros qui se décompose en deux euros cinquante d’augmentation proprement dite et deux euros cinquante de taxes supplémentaires. Continuer la lecture
C’est dimanche (168)
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