Pour revenir à mes habitudes dominicales, quelques histoires pour tenter de sourire avec un sujet bien inquiétant : l’immigration. Les derniers jours, les dernières semaines, les derniers mois montrent bien que plus personne n’est réellement maître de la situation ; encore que… Je pense que les associations de gauche et le capital (en France, Medef, pour simplifier) se complètent dans cette machine à broyer les immigrés ; les profiteurs apprécient ce gibier : de la main d’oeuvre bon marché. Bon, essayons encore de rire. C’est bon pour le moral et la santé mais pas si facile.
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Un groupe d’immigrants juifs de Russie arrive à l’aéroport Ben Gourion. Des journalistes sont là pour les interroger. Parmi eux, on remarque un vénérable vieillard à la barbe patriarcale. Tout naturellement, les journalistes s’adressent à lui :
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Le président des États-Unis Barak Obama et le président François Hollande assistent à la présentation d’une machine à voir dans le futur, dans cent ans exactement. Tous deux décident de l’essayer en posant une question chacun.
Le président Obama commence : « Comment seront les USA dans cent ans ? Serons-nous toujours une grande puissance ? »
La machine vibre, sonne, se met à imprimer un résultat. Obama le prend et le lit : « Le pays est en de bonnes mains avec un président républicain, il n’y a plus de crimes, il n’y a plus de conflits, les Talibans sont battus, la Corée du Nord est une démocratie, l’économie est en bonne santé. Il n’y a plus aucun problème de racisme ».
Hollande pense alors « Cette machine me semble pas mal… Je vais l’essayer tranquillement. » Il demande alors, comme son collègue : « Comment sera la France dans cent ans ? »
La machine vibre, sonne, se met à imprimer un résultat. Hollande s’en saisit et ne dit rien.Il reste les yeux fixés sur la feuille.
– « Vas-y François,» dit Obama, « dis nous ce qui est écrit. »
– «Heu… Euh… Je ne peux pas,… heu… c’est écrit en arabe. »
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Georges Martin, un homme un peu âgé, vivant à Aubervillers, allait se coucher quand sa femme lui dit qu’il avait laissé la lumière dans l’abri de jardin, ce qu’elle pouvait voir depuis la fenêtre de la chambre.
Georges ouvrit la porte arrière de sa maison pour aller éteindre mais il vit qu’il y avait plusieurs personnes dans l’abri et qu’ils étaient en train de voler du matériel de jardin. Il appela alors la police qui lui demanda : – « Quelqu’un s’est-il introduit chez vous ? »
Il répondit : – « Non pas dans la maison même, mais des gens sont entrés dans mon jardin et ils sont en train de me voler des outils »
– « Toutes nos patrouilles sont occupées il faut vous enfermer et un officier de police passera dès qu’il sera libre ».
Georges dit : -« D’accord ! »
Puis il raccroche ; il attend trente secondes et rappelle la police :
Puis il raccroche.
Dans les cinq minutes qui suivent, six voitures de police, une équipe de tireurs d’élite, un hélicoptère, deux camions de pompiers, une ambulance et le SAMU local se présentent devant son domicile ; les voleurs sont alors pris en flagrant délit.
Un policier dit à Georges : – « Je croyais que vous les aviez tués ? »
Georges répondit : –« Moi, je croyais que vous n’aviez personne de disponible. »
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Un peu d’humour noir pour nous ramener à la réalité. Une histoire d’immigration. On laisse venir tout le monde ; et après ?
Dans un pays étranger, un jeune homme se promène, il est chez lui ; soudain il voit une affiche placardée devant une agence de voyages : “Sports d’hiver gratuits en France pour tous les immigrés”.
Il entre, s’informe et aussitôt on lui remet un billet d’avion pour aller en France.
Il part donc, arrive dans la station de sports d’hiver, et là il voit : “location de matériel gratuite pour les immigrés”.
Il prend donc un équipement et se dit que la France est vraiment le paradis des immigrés.
Il continue sa balade dans la station et voit un nouveau panneau :”piste réservée aux immigrés”.
Il pense que la France fait beaucoup d’efforts pour les migrants en préparant une piste spéciale pour les débutants. Plein de confiance, il emprunte la piste mais, contrairement à ce qu’il pensait, plus ça avance, plus la piste est raide, plus ça descend, plus il prend de la vitesse et il ne peut s’arrêter. Soudain il arrive sur un tremplin, c’est fini : il décolle… Et ?
Et après ? Ben voilà, personne ne sait vraiment ce qui va se passer.
Ah si… Il parait que le skieur entend “Pull”. Il participerait à un concours de tir aux pigeons.
Essayons de sourire encore un peu.
Bon dimanche.
Normalement, dans la dernière histoire, y’a pas quelqu’un qui crie “PULL” ??
Merci pour ces histoires dont une pourrait bien être notre futur !
Pour la dernière, après le tremplin, il y a un concours de tirs aux pigeons !
Bonne journée Françoise
Bisous