Voilà trois mois que “c’est dimanche” avait disparu. Pourquoi ? Par manque de temps. Tout simplement. Il faut dire que ces trois derniers mois ont été plus que bien remplis, des voyages à travers la France, l’Europe et même une escapade aux États-Unis, en Floride pour être précise, une petite-fille de plus et des vacances en famille. De bonnes raisons de rester silencieuse.

Voilà. J’avais prévu un retour la semaine dernière mais il y a eu la rentrée des classes. Pour rire un peu aujourd’hui, juste après la fin des vacances, juste après la rentrée des classes, un peu avant l’automne, des histoires drôles d’Américains.

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Un touriste américain visitait la Suisse durant l’été. Etant propriétaire d’un ranch, il voulut savoir comment travaillaient les paysans suisses. Il se rendit donc dans une ferme pour obtenir quelques informations.
L’agriculteur suisse, tout fier, lui montre ses champs :
Paysan : “Regardez, mes betteraves, elles sont belles ! Non ?”
L’Américain : ” Boah… Des betteraves, ça ? Chez nous, elles sont trois à quatre fois plus grosses nos betteraves !”
Le paysan, légèrement vexé, lui montre dans un autre champ, des laitues : “Mais regardez mes laitues, vous ne pourrez pas dire qu’elles ne sont pas belles, mes laitues, hein ?”
Le Ricain : “Arrêtez de me faire rire ! Elles sont anémiques, vos laitues ! Aux USA, nos laitues sont au moins dix ou douze fois plus grosses !”
Alors là, franchement vexé, le paysan. Pour clouer le bec de ce présomptueux Américain, il l’emmène voir son champ de citrouilles :
Paysan (en montrant les citrouilles) : “Et voilà nos pommes !”
Le Ricain, plié en deux de rire : “Ah ! Ah ! Mais alors… Guillaume Tell, c’etait du chiqué !”

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C’était du temps où Reagan était président des U.S.A. Trois chirurgiens américains discutaient ensemble des opérations les plus difficiles qu’ils avaient réalisées.
Le premier dit : “Je suis le meilleur chirurgien du Texas. Un pianiste de concert avait perdu sept de ses doigts en tondant son gazon, je les ai recousus et huit mois après, il donnait un concert pour la reine d’Angleterre !”.
Le deuxième dit : “Ce n’est rien, j’ai opéré un gars qui avait perdu ses deux bras et ses deux jambes. Deux ans après, il a gagné une médaille d’or aux jeux olympiques !”.
Le dernier dit alors : “Moi, Il y a quelques années, un gars shooté à la cocaïne et à l’alcool s’est jeté sous un train avec son cheval. Tout ce qu’il restait c’était le cul du cheval, le chapeau de cow-boy du gars et un peu de cervelle…”
Les deux autres, ensemble : “Et alors ?”
Le dernier avec un grand sourire :

– “Devinez qui est président des États-Unis en ce moment ?”

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Nous nous moquons souvent de nos hommes politiques en France, de l’incapacité de parler de certains, de la sottise de quelques autres mais aux USA, il y a eu Bush et les “bushisms”, des phrases “abracadabrantesques”. Des exemples ? En voilà quelques-uns :

-“Nous sommes prêts pour tout événement imprévu qui peut ou ne peut pas se produire.”

-“La vaste majorité de nos importations vient de l’extérieur du pays.”

– “Si nous ne réussissons pas, nous courons le risque d’échouer.”

– “Une faible participation est une indication que moins de gens sont allés voter.”

– “Ce n’est pas la pollution qui attaque l’environnement. Ce sont les impuretés dans notre air et notre eau qui en sont responsables.”

– “Le futur sera meilleur demain.”

– “Je crois que nous sommes dans une tendance irréversible pour plus de liberté et de démocratie, mais ça pourrait changer.”

– “Pour la NASA, l’espace est toujours une haute priorité.”

– “J’ai fait de bons jugements dans le passé, j’ai fait de bons jugements dans le futur.”

– “Je pense que nous sommes d’accord : le passé est terminé.”

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Transcription d’une communication radio entre un bateau de la US Navy et les autorités canadiennes au large de la Terre-Neuve :

– Américains : Veuillez vous dérouter de 15 degrés Nord pour éviter une collision. À vous.
– Canadiens : Veuillez plutôt vous dérouter de 15 degrés Sud pour éviter une collision. À vous.
– Américains : Ici, le capitaine d’un navire des forces navales américaines. Je répète : veuillez modifier votre course. À vous.
– Canadiens : Non, veuillez vous dérouter, je vous prie. À vous.
– Américains : Ici, c’est le porte-avions USS Lincoln, le deuxième navire en puissance de la flotte navale des États-Unis d’Amérique. Nous sommes accompagnés de trois destroyers, trois croiseurs et un nombre important de navires d’escorte. Je vous demande de dévier de votre route de 15 degrés Nord ou des mesures contraignantes vont être prises pour assurer la sécurité de notre navire. À vous.
– Canadiens : ici, c’est un phare. À vous.

(L’histoire est véridique et ceux qui veulent vérifier peuvent s’adresser au département des Affaires maritimes canadien ; l’incident s’est passé en octobre 1995. )

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Si Dieu dit : “Il faut pacifier. Il faut désarmer.”
Les Américains ont compris: “Il faut pas s’y fier. Il faut des armées.”

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Et pour finir, une histoire très très ancienne :

Théodore Roosevelt, alors qu’il était président des Etats-Unis, fit un grand voyage à travers le pays et s’arrêta dans une réserve indienne, où il rendit visite au Grand Chef. Il s’étonna que celui-ci ait six épouses.

Il lui en fit la remarque : Mon cher ami, vous devriez en choisir une et renvoyer les cinq autres dans leur famille !

D’accord, Grand Chef blanc, mais à une condition : vous choisissez celle que je dois garder et vous annoncez vous-même la nouvelle aux cinq autres !

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Aux États-unis, un couple est installé devant sa télévision et le mari, avec la télécommande, fait des allers-retours entre un canal de pêche et un canal porno.
La femme, de plus en plus agacée, finit par lui dire :
“Pour l’amour du ciel, Larry, reste sur le canal porno, tu sais déjà comment pêcher !”

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Bon dimanche et à bientôt.