La présence des animaux dans les fables est constante depuis l’Antiquité. L’anthropomorphisme a une visée morale. La Fontaine nous en avise :
[…]ce n’est pas aux Hérons
Que je parle ; écoutez, humains, un autre conte,
Vous verrez que chez vous j’ai puisé ces leçons.
Que je parle ; écoutez, humains, un autre conte,
Vous verrez que chez vous j’ai puisé ces leçons.